Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique

tu vois ben que chus en train de te guetter si t'es pas encore en train de faire des mauvais coups à Ti-Charles ahhhhhhhhhhhhhhh



Chambre de commerce et d'industrie de Roberval

Cette maison est de Roberval, mais je n'ai pas en ce moment d'informations la concernant.
2 décembre 2011
Commentaires

Klair Girard C'est la maison de Philéas Hamel ainsi que sa cordonnerie vers les années 1905. Ce personnage arrive à Roberval et y bâtit le Château Roberval. Il construit sa cordonnerie vers 1901 entre le Château et le salon de coiffure sur la rue Marcoux...voilà
2 décembre 2011, à 16:59


Chambre de commerce et d'industrie de Roberval Merci encore Klair, tu es une mine d'information! Je pense que je vais continuer de chercher de vielles photos de bâtiments commerciaux de Roberval, c'est très instructif émoticône smile
2 décembre 2011, à 17:35


Carole Gagnon Je recherche un magasin qui aurait été tenu par un M. Potvin (pas sûr du nom) en 1903 et aurait été situé près de Xavier Laroche qui restait contre le shed des chars à Roberval (comme dit mon grand-père (Léger Gagnon d'Albanel) dans ses mémoires). Si quelqu'un a ces infos... Merci
22 septembre 2013, à 10:47


Marcel Belanger Hello Klair. Je recherche les Ursulines. Je suis particulierement interesse au cimetiere des Ursulines. Une pierre tombale d'une petite fille de 10 ans est situee dans ce cimetiere. Son nom est Jeannette Couchy. Peut-etre des gens de Roberval pourraient m'aider dans ma rechrche. Je peux fournir mon couriel en prive sur Facebook. Je vous remercie beaucoup et en esperant vous relire sous peu. Marcel Belanger
il y a 10 minutes

Je vais vérifier dans mes archives pour vous donner un peu plus d'information sur ce commerce également. Selon l'habillement, c'est au début des années 1900.
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Klair Girard Cette maison était le commerce de M. Léonce-Phileas Bilodeau; surnommé le père de Roberval. À son décès en 1909, son commerce est vendu à J. -Henri Lalancette. Plus tard, M. Antoine Marcotte acquiert cette maison et fait disparaître la toiture ronde. Ce bâtiment a déjà abrité un cinéma. Aujourd'hui, c'est une maison à logement qui prend place au 951 à 959 sur le Boulevard Saint-Joseph.
2 décembre 2011, à 19:45 · J’aime

Chambre de commerce et d'industrie de Roberval Wow Klair, merci beaucoup pour ces excellentes informations sur cet édifice. C'est fou comment on apprend en groupe émoticône smile
2 décembre 2011, à 20:29 · J’aime

Manon LeClerc Toutes les informations concernant ces vieilles photos sont disponibles au Centre d'archives. N'hésitez pas à communiquer avec les employés pour avoir les bons renseignements.
2 décembre 2011, à 21:49 · J’aime

Votre commentaire...

sais-tu mon ti Marcel tu t'en viens bon t,es à veille de m'dépasser

M'a être bonne pour prendre ma retraite pi tu veux-tu ma place pour cordonner le forum à

tu demanderas à ti-Charles de se libérer pour venir su'l notaire pour te servir de témoin mecqu'on passe le contrat de passassions des pouvoirs.


 m'a t'acheter un trophée

Bon! Après 40 heures de boulot en trois jours et un gros dodo, je vais relire tout ce qui a été écrit ici depuis lundi et répondre à certaines questions! Ça va meubler une bonne partie de ma journée de congé! ;))

Denise Pelletier Michaud a écrit:au début de cet énigme il est dit que Jeannette passait que ses étés à Roberval et y est décédée

Ce que ce crois c'est que cette petite Jeannette n'a jamais habité chez les soeurs durant l'année scolaire.  Elle y passait que les vacances

Donc à partir de là il faut la chercher aux ZÉtats .. C'est mon hypothèse.

On ne la retrouve pas sur le recensement de 1901 et elle est supposée y être si elle y habitait.

Donc elle n'est pas là

Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi c'est ce que je pense.

Elle est soit avec les parents de la première épouse de Georges ou un autre parent toujours aux Zétats durant l’année scolaire et depuis sa naissance également

Je ne suis pas vraiment d'accord avec toi sur ce point Denise. Ne pas oublier que le service des archives des Ursulines de Roberval m'a mentionné en 2007 que les sœurs avaient adoptée la petite comme étant "leur fille". Cela suppose de passer plus que quelques étés selon moi.

dixpeny a écrit:J'en parlais a mon epouse, puis une idee m'est venue a l'esprit.
La pierre tombale de Jeannette n'est pas une petite piece de bois avec une croix, mais une tres belle pierre en granit noir.
Donc, quelqu'un a du payer pour cette pierre. Les Ursulines ? Pas vraiment mon avis.
Peut-on retracer a cette epoque, qui sciselait des pierres tombales a cette epoque a Roberval ou dans la region de Chicoutimi.
Y-a-t'il eu lieu de ceremonie ? Avait-on fait appel a un service funeraire ? Si oui, lequel ?
Quelle entreprise funeraire existait a cette epoque ?
Plusieurs questions ici, mais je crois qu'il en vaut la peine de verifier. 
Qu'en pensez-vous  tous ?

Comme je mentionnais, lors de ma visite au cimetière des Ursulines en 2002 elles étaient toutes uniformes les pierre. Cela suppose d'après moi un changement de toutes les pierre d'un seul coup . 
Voir dans ma recherche les premières photos! ;)

Denise Pelletier Michaud a écrit:Birth: 1882
Death: Apr. 22, 1943
St. Louis County
Minnesota, USA


Family links:
Spouse:
 George J Cauchy (1863 - 1946)*

Children:
 William Cauchy (1908 - 1968)*
 Isabelle Katherine Cauchy Hawkins (1913 - 2008)*
 Peter S Cauchy (1916 - 2002)*
 John Cauchy (1922 - 1941)*

*Calculated relationship

Burial:
Saint Bridgets Cemetery
Greaney
St. Louis County
Minnesota, USA

Created by: JudyH
Record added: Sep 25, 2014
Find A Grave Memorial# 136398033

Cette photo est très importante car il s'agit de "notre" George, père bio de Jeannette. 
Et de sa 3ieme femme Anna.
Cette photo a été ajoutée à ma recherche la semaine derniere.

c,est bien possible mais nous ne trouvons pas de traces d'elle à part son acte de décès, son monument et le peu que tu as su des Ursulines.

Christian a écrit:

Denise Pelletier Michaud a écrit:au début de cet énigme il est dit que Jeannette passait que ses étés à Roberval et y est décédée

Ce que ce crois c'est que cette petite Jeannette n'a jamais habité chez les soeurs durant l'année scolaire.  Elle y passait que les vacances

Donc à partir de là il faut la chercher aux ZÉtats .. C'est mon hypothèse.

On ne la retrouve pas sur le recensement de 1901 et elle est supposée y être si elle y habitait.

Donc elle n'est pas là

Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi c'est ce que je pense.

Elle est soit avec les parents de la première épouse de Georges ou un autre parent toujours aux Zétats durant l’année scolaire et depuis sa naissance également

Je ne suis pas vraiment d'accord avec toi sur ce point Denise. Ne pas oublier que le service des archives des Ursulines de Roberval m'a mentionné en 2007 que les sœurs avaient adoptée la petite comme étant "leur fille". Cela suppose de passer plus que quelques étés selon moi.

Je ne savais pas que tu l'avais trouvé aussi car moi je l'ai trouvé dans mes recherches

Christian a écrit:

Denise Pelletier Michaud a écrit:Birth: 1882
Death: Apr. 22, 1943
St. Louis County
Minnesota, USA


Family links:
Spouse:
 George J Cauchy (1863 - 1946)*

Children:
 William Cauchy (1908 - 1968)*
 Isabelle Katherine Cauchy Hawkins (1913 - 2008)*
 Peter S Cauchy (1916 - 2002)*
 John Cauchy (1922 - 1941)*

*Calculated relationship

Burial:
Saint Bridgets Cemetery
Greaney
St. Louis County
Minnesota, USA

Created by: JudyH
Record added: Sep 25, 2014
Find A Grave Memorial# 136398033

Cette photo est très importante car il s'agit de "notre" George, père bio de Jeannette. 
Et de sa 3ieme femme Anna.
Cette photo a été ajoutée à ma recherche la semaine derniere.

Denise Pelletier Michaud a écrit:Birth: unknown
Death: Jun. 28, 1942


Inscription:
Royal Canadian Air Force

Note: R/55408

Burial:
Amersfoort Oud Leusden Cemetery
Amersfoort
Amersfoort Municipality
Utrecht, Netherlands
Plot: Plot 13. Row 3. Grave 45.

Maintained by: IWPP Custodial Account
Originally Created by: International Wargraves ...
Record added: Dec 19, 2005
Find A Grave Memorial# 12725998

Cette branche de la famille Cauchy est de Lévis. Pendant longtemps (et j'y crois encore) j'ai pensé que c'était cette 
Branche qui avait accueillit Jeannette avant son transfert à Roberval. Evidemment, 
Encore rien de concret.
Voici un article super intéressant sur son frère qui est encore vivant aujourd'hui et est un
Canadien très respecté. Il a reçu plusieurs médailles et honneurs. 
http://www.journaldemontreal.com/2015/11/08/il-honore-son-frere-decede-a-la-guerre-il-y-a-73-ans

Ok J'ai pose une question a Denise Est-ce-possible qu'a cette epoque, un temoin a un enterrement peut etre age de 14-15 ans.
On sait que plusieurs personnes se sont maries en tres ba age.
Alors, sur le document de Jeannette, les deux temoins sont Thomas Lous Paradis et Joseph Gauthier.
J'ai recherche profondement les deux a Roberval et aux alentours.
J'ai trouve 3 Joseph Gauthier. J'en ai elimine2 parce qu'ils sont nes apres le deces de Jeannette.
Donc, il m'en reste un.
Pour ce qui de Thomas Louis paradis, il serait ne en 1888 a St Felicien
Je reviens a Joseph Gauthier, il est ne en 1887 a Roberval.

Et le voici:

http://mv.ancestry.ca/viewer/6d96a70e-328b-4385-b12b-c68c2f3f3123/37918209/19379816903

Denise Pelletier Michaud a écrit:
Birth: Feb. 14, 1847
Waterford
Oakland County
Michigan, USA
Death: Nov. 19, 1937
Traverse City
Grand Traverse County
Michigan, USA

Joshua Roswell Moe was born on 14 February 1847 in Michigan, son of Nun Moe and Catherine Hagens. On 19 August 1850, Joshua lived with his parents and siblings Orpha, Lovina, Phebe, Cordelia, and Hiram in Addison, Oakland County, Michigan.

On 18 July 1860, Joshua lived with his parents and siblings Louisa, Carlila, Lydia, Hewey, and Matilda, along with a 2-year-old girl Lena Burton. Joshua had attended school in the last year.

Joshua enlisted as a Private in Company A of the 4th Michigan Cavalry at Dryden, Michigan on 28 January 1864. He joined his unit on 6 February 1864. He assisted in the capture of Jefferson Davis and was selected as one of the few men to escort the captured Confederate States President to Washington. He was discharged at Edgefield, Tennessee on August 15, 1865.

Joshua was married first on 6 June 1866 in Romeo, Macomb County, Michigan to Hannah Josephine Church. Hannah was born on 6 January 1850 in Almont township, Lapeer County, Michigan, daughter of George Church and Catherine (–?–).

He has not been located on the 1870 or 1880 censuses.

In 1890, Joshua lived in Elmwood, Tuscola County, Michigan. He reported that he had affection of lungs from his Civil War service. Josephine died on 9 November 1891 in Elmwood township, Tuscola County.

Joshua was married second on 11 August 1892 at Bad Axe, Huron County, Michigan to Mary Oliva (Benjamin) Winton. Justice Edwin Watkins conducted the ceremony, which was witnessed by F. P. Watrous and F. A. Watkins. Mary was born on 13 April 1845 in Ashtabula County, Ohio.

On 25 June 1900, the couple and their daughter Cora lived in Wells, Tuscola County. He was working as a farmer.

On 5 May 1910, Joshua and Mary lived on N. Borderline Road in Wells, Tuscola County. He worked as a farmer.

In January 1920, Joshua lived in Ellington township, Tuscola County, Michigan, boarding with Charles and Louisa Blakey. He has not been located on the 1930 census.

Joshua died on 19 November 1937.

Joshua buried Oakwood Cemetery.

Joshua and Hannah (Church) Moe were the parents of seven children:

i. CARLISLE C. MOE was born on 29 September 1867 in Grant township, Huron County, Michigan.
ii. CLARENCE ROSWELL MOE was born on 8 February 1872 in Gagetown, Tuscola County.
iii. WILLIAM M. MOE was born on 9 February 1874 in Gagetown, Tuscola County.
iv. CHARLES AUGUSTA MOE was born on 12 February 1876 in Gagetown, Tuscola County.
v. STUBBS MOE was born on 20 June 1878 in Elmwood township, Tuscola County.
vi. CATHERINE J. MOE was born on 30 May 1880 in Elmwood township, Tuscola County
vii. CORA MOE was born on 29 January 1889 in Elmwood township, Tuscola County.



Family links:
Children:
 Clarence Roswell Moe (1872 - 1959)*
 Charles Agustus Moe (1876 - 1950)*
 Stubb Moe (1878 - 1879)*
 Cora Beatrice Moe (1889 - 1906)*

*Calculated relationship

Burial:
Oakwood Cemetery
Traverse City
Grand Traverse County
Michigan, USA
Plot: 1st Add Blk 238 Lot 04a #01

Created by: Homer Thiel
Record added: Jul 24, 2011
Find A Grave Memorial# 73851806

Joshua Roswell Moe
Added by: Mike Serpa

Joshua Roswell Moe
Added by: Richard Howell

Joshua Roswell Moe
Cemetery Photo
Added by: Jimmy Sweet


Photos may be scaled.
Click on image for full size.

4th Michigan Calvary
- Honoring our ancestors
Added: Dec. 21, 2013
http://www.findagrave.com/cgi-bin/fg.cgi?page=gr&GSln=moe&GSfn=joshua&GSbyrel=all&GSdyrel=all&GSob=n&GRid=73851806&df=all&

Honnêtement je ne crois pas que Joshua Moe ai un rapport avec la petite Jeannette. 
Ceci pour deux raisons:
1- le temps. Moe n'a pas été très longtemps dans la vie de Jeannette. Oui il a été marié avec 
La grand-mère de celle-ci mais .... 2- il ne faut pas oublier qu'une fois Marie-jeannette winton 
Décédée, jeannette avait un père , George, qui lui était de la famille Cauchy. Il gardait donc
Tous ses "droits" sur sa fille et ça me surprendrait beaucoup qu'il ait confié sa fille à sa belle-famille surtout si il y avait encore beaucoup de membres de sa famille à lui dans la même région! ;))

Dixpeny, je crois avoi résolu ton énigme sur Joseph Gauthier. Voir le lien. Il arrive à Ste-edwidge (paroisse collée sur Roberval) en 1901. Je n'ai pas son cheminement mais il n'avait certainement pas 14 ans en 1901 s'il était déjà curé! ;))
Donc d'après moi c'est un curé de l'extérieur qui s'est implanté dans ce coin en 1901 et c'est pour cela que tu ne le trouve à nulle part dans les recensements??

http://www.ste-hedwidge.qc.ca/index.php/accueil/historique

Dixpeny, je crois avoi résolu ton énigme sur Joseph Gauthier. Voir le lien. Il arrive à Ste-edwidge (paroisse collée sur Roberval) en 1901. Je n'ai pas son cheminement mais il n'avait certainement pas 14 ans en 1901 s'il était déjà curé! ;))
Donc d'après moi c'est un curé de l'extérieur qui s'est implanté dans ce coin en 1901 et c'est pour cela que tu ne le trouve à nulle part dans les recensements??

http://www.ste-hedwidge.qc.ca/index.php/accueil/historique

Christian!! Joseph Gauthier n'est pas le cure, il est le temoin a l'enterrement

Dixpeny: comme il arrive à Ste-edwidge en 1907, autre possibilité: c'est le bon Gauthier, il a 20 ans en 1907 alors en 1901 il était p e déjà aux études pour devenir curé? Donc... P e oui déjà possibilité qu'il soit témoin au décès de jeannette??

Dixpeny: voir lien que j'ai publié, année 1907.

désolé ce Joseph Gauthier était marié à Marie Laforest

Pour répondre à mon ti Marcel quand on peut se marier à 14 et 15 ans on peut être témoin et signer comme parrain et marraine ou à un décès


mets tes lunettes t'en as besoin ahhahaha

je t'en ai trouvé une paire en attendant que tu trouves les tiennes ahhaha

y est sur le forum ton lien ou sur facebook ou ailleurs

ou bien encore est-ce lien ? http://www.ste-hedwidge.qc.ca/index.php/accueil/historique

c'est pas le même Joseph

Christian a écrit:Dixpeny: voir lien que j'ai publié, année 1907.

Sur ce forum. Ce matin à 11:07.

c,est pas l'heure que je te demande est- ce le lien que tu avais mis

Christian a écrit:Dixpeny, je crois avoi résolu ton énigme sur Joseph Gauthier. Voir le lien. Il arrive à Ste-edwidge (paroisse collée sur Roberval) en 1901. Je n'ai pas son cheminement mais il n'avait certainement pas 14 ans en 1901 s'il était déjà curé! ;))
Donc d'après moi c'est un curé de l'extérieur qui s'est implanté dans ce coin en 1901 et c'est pour cela que tu ne le trouve à nulle part dans les recensements??

http://www.ste-hedwidge.qc.ca/index.php/accueil/historique

voici le curé Gauthier

Joseph Gauthier

Date de naissance: 20 octobre 1877
Lieu de naissance: Chicoutimi
Père: Elzéar Gauthier
Mère: Démérise Tremblay
Date de l'ordination: 24 mai 1904
Lieu de l'ordination: Chicoutimi
Date du décès:

Cures/vicariats/missions:
Sainte-Hedwidge, 1907-1914 (jusqu'en 1909: 17 baptêmes, 2 mariages, 5 sépultures)

Sainte-Hedwidge

Photo non disponible Paroisse: Sainte-Hedwidge
Municipalité: Sainte-Hedwidge
MRC/Territoire équivalent: Le Domaine-du-Roy
Diocèse: Chicoutimi
Adresse: 1118, rue Principale, Sainte-Hedwidge
Coordonnées: 48.481955, -72.363197
Ouverture des registres: 9 septembre 1907
Fermeture des registres: 2004

Histoire:
Comté du Lac-Saint-Jean. Diocèse de Chicoutimi. Un curé y réside depuis 1906; les registres de la paroisse s'ouvrent en l'année 1907. Érection canonique: 23 décembre 1906. Érection civile: 30 août 1909. Le territoire de cette paroisse comprend tout le canton de Ross et une partie des cantons de Roberval, de Ouiatchouan et d'Ashuapmouchouan. Voir Gazette Officielle de 1909, page 1606. La municipalité de la paroisse de Sainte-Hedwidge a été érigée le 10 mars 1909. Voir Gazette Officielle de 1909, page 1806. Le village est situé à 7 milles de la station de Roberval, sur le parcours du chemin de fer Canadien National. Le nom de sainte Hedwidge a été donné à la paroisse parce que ce fut en la fête de sainte Hedwidge que le grand vicaire Leclerc, ancien curé d'Hébertville, choisit et marqua la place de l'église. Le nom du bureau de poste, Roberval-Ouest, a été donné au village parce qu'il est situé à l'ouest de la ville de Roberval. Pop. 500. (Source: Magnan, Hormisdas, Dictionnaire historique et géographique des paroisses, missions et municipalités de la Province de Québec, 1925, p.424)

La paroisse Sainte-Hedwidge a été supprimée et annexée à la paroisse Notre-Dame-Immaculée le 1 janvier 2005.

Baptêmes:

Index:
1907-1909

Ordre chronologique:
1907 1908 1909


Mariages:

Index:
1907-1909

Ordre chronologique:
1907 1908 1909


Sépultures:

Index:
1907-1909

Ordre chronologique:
1907 1908 1909


Curés/vicaires/missionnaires:
Joseph Gauthier 1907-1914 (1er curé)
Joseph Arthur Desgagnés 1907-
Joseph Dufour 1914-1919 (2e curé)
Léon Pelletier 1919-1929 (3e curé)
Alphonse Tremblay 1929-1949 (4e curé)
Joseph Azarias Tremblay 1949-1956 (5e curé)
Armand Lavallée 1956-1963 (6e curé)
Alfred Simard 1963 (7e curé)

Statistiques démographiques:

ANNÉE MUNICIPALITÉ POPULATION
2006 Sainte-Hedwidge (m) 820
2001 Sainte-Hedwidge (m) 843

Source : http://www.originis.ca/paroisse_sainte_hedwidge.html

GAUTHIER, JOSEPH
Sexe :
M
Date de naissance :
20-8-1876
Age :
0
Lieu de résidence :
CHICOUTIMI
Date du décès :
8-2-1949

décès de l'Abbé Joseph Gauthier


sa naissance

Question pour tous!!
J'avoue que ça dépasse mes compétences côté inhumation au début du siècle dernier alors...
Je suis en train de relire certains documents pour m'assurer que je n'avais pas échappé un détails l'an dernier. Surtout que depuis tellement de choses se sont ajoutés alors il était possible que j'ai passé tout droit sur un truc qui aujourd'hui pourrait être important.
Alors voici. On sait que Jeannette est décédée à Roberval. Me suis "amusé" à lire plusieurs actes de décès du registre de Roberval. Pour tout le monde il y a toujours plusieurs personnes (souvent 5,6 et plus) personnes qui signent comme témoins, en plus du prêtre.
Donc j'imagine que se sont des parents et amis.
Toutefois pour Jeannette il n'y a que deux personnes (dont l'une a p e seulement 14 ans).
Voici l'une de mes questions: à cette époque, où, physiquement, était rédigé ces actes? Au lieu de décès? Juste après le dernier service à l'église?
Car voici.... Le couvent des Ursulines possédait évidemment une chapelle, donc un lieu approprié pour un dernier service. Par contre ça me cause deux problèmes: 1- le prêtre doit "traîner" ce registre avec lui!! Et 2- si ce service a eu lieu au couvent, je trouve étrange qu'aucun témoin n'ai été une ou des sœurs étant donné qu'elles n'ont pas signées!!

Je trouve étrange de prendre "deux quidams" comme ça comme témoins!

Donc... Et si elle était décédée à l'hôpital même? L'église est juste de l'autre côté de la rue.

Un service vite fait ?
Puis on ramène le corps au couvent avec un enterrement avec les sœurs présentent cette fois?

Vos lumières et hypothèses!!

Car.... Il doit y avoir des archives à l'hôpital!

Car en relisant l'acte, c'est bien écrit "présent à l'inhumation " suivi de ces deux personnes. Donc... Ils étaient juste 3 à ce services? Hmmmm

Car en relisant l'acte, c'est bien écrit "présent à l'inhumation " suivi de ces deux personnes. Donc... Ils étaient juste 3 à ce services? Hmmmm

c'est certain que pour un romancier la généalogie est un tout autre monde

Souvent de fois quand il n'y a pas de membres de la famille ce sont soit le bedeau soit une autre personne du village qui signe l'acte de décès dans ce cas ci il n'indique pas bedeau.. alors ça peut-être n'importe qui

Je viens de te déposer la naissance et le décès de l'Abbé Joseph Gauthier qui est le curé en 1906 à Chicoutimi pour le mariage d'un de ses frères Ernest Gauthier avec Alice Tremblay le 24 août 1909 St-François-Xavier Chicoutimi

tu dois avoir encore mon numéro de téléphone tu peux me téléphoner on pourra en parler plus longuement
Si tu l'as perdu je te l'envoie en message privé ici sur le forum

Christian a écrit:Question pour tous!!
J'avoue que ça dépasse mes compétences côté inhumation au début du siècle dernier alors...
Je suis en train de relire certains documents pour m'assurer que je n'avais pas échappé un détails l'an dernier. Surtout que depuis tellement de choses se sont ajoutés alors il était possible que j'ai passé tout droit sur un truc qui aujourd'hui pourrait être important.
Alors voici. On sait que Jeannette est décédée à Roberval. Me suis "amusé" à lire plusieurs actes de décès du registre de Roberval. Pour tout le monde il y a toujours plusieurs personnes (souvent 5,6 et plus) personnes qui signent comme témoins, en plus du prêtre.
Donc j'imagine que se sont des parents et amis.
Toutefois pour Jeannette il n'y a que deux personnes (dont l'une a p e seulement 14 ans).
Voici l'une de mes questions: à cette époque, où, physiquement, était rédigé ces actes? Au lieu de décès? Juste après le dernier service à l'église?
Car voici.... Le couvent des Ursulines possédait évidemment une chapelle, donc un lieu approprié pour un dernier service. Par contre ça me cause deux problèmes: 1- le prêtre doit "traîner" ce registre avec lui!! Et 2- si ce service a eu lieu au couvent, je trouve étrange qu'aucun témoin n'ai été une ou des sœurs étant donné qu'elles n'ont pas signées!!

Je trouve étrange de prendre "deux quidams" comme ça comme témoins!

Donc... Et si elle était décédée à l'hôpital même? L'église est juste de l'autre côté de la rue.

Un service vite fait ?
Puis on ramène le corps au couvent avec un enterrement avec les sœurs présentent cette fois?

Vos lumières et hypothèses!!

Car.... Il doit y avoir des archives à l'hôpital!

 
le prêtre signataire de l'acte de décès Thomas Victor Marcoux fils de Charles Marcous et Marie Laberge ne en 1860 a Beauport, (confirmé par R Cantin)


il a été l'aumônier des Ursulines a Roberval

pour voir tes messages privés sur le forum regarde en haut tu verras cette image

lorsque tu n'as pas de message c,est celle-ci que tu vois

Suis de retour.
Denise, merci pour l'info sur les messages. C'est que j'utilise plus souvent la version mobile alors je ne les vois pas!!

Bon..... Pas que je veuille tenir à ma théorie absolument là. Mais c'est juste que...
Depuis ce matin tout le monde me dit que le Joseph Gauthier qui a signé l'acte de décès de Jeannette n'est pas le curé qui a débuté à Ste-edwidge en 1907.
Bon ok..... Sauf que... Je viens de trouver cette photo du séminaire de Roberval des pères maristes de 1904. Qui fait partie des curés? joseph Gauthier. Et ce n'est pas tout. Regardez parmi les élèves. Oui oui.. Un Thomas-Louis Paradis.
Les chances qu'en 1901 il y avait deux autres personnes avec ces noms et prénoms à Roberval qui ont signées cet acte?
Place au débat ;))

Denise, juste me dire ce que tu en pense. Vais t'appeler après!!

http://www.shistoriquesaguenay.com/DetailPhoto.asp?TxtPhoto=Thomas%2Dlouis+paradis&Submit=Envoyer&id=30276

en plein dans le mil avec cette photo

De plus si le Joseph Gauthier signataire était prêtre  il aurait ajouté ptre à côté

Thomas-Louis Paradis s'est marié à Hébertville au Lac aussi

pour ce qui est du Joseph Gauthier il faudrait comparer les signatures à ses mariages et au décès de Jeannette pour être certain que ce soit le bon Joseph Gauthier

ah ben maudit j'allume le Joseph Gauthier la mère de sa première épouse était une Jam comme par hasard..

C'était exactement ce que j'étais en train de t'écrire sur Jam! ;)

La moi j'ai mal a tete!!
 Quand j'ai mentionne Joseph Gauthier, je j'ai mentionne comme temoin, pas pretre.
Ok Christin a trouve un Joseph Gauthier pretre, je l'accepte.
Par contre, le certificat de deces est signe par le pretre Marcoux, pas Gauthier.
Puis oui, moi aussi j'ai deja mentionne ce deces comme quelque peu inhabituel sinon bizarre.
J'ai aussi pose quelque questions a ce sujet comme:

1- Une petite fille est malade de coeur et succombe en 1901.-- A quel endroit est-elle decedee? (pas inhumee)
2- Un hopital existait en 1900-- Dr Jules Constantin medecin --- puis il y en avait un autre aussi, j'ai pas son nom ici

La Je me depeche trop parce que je ne veut pas oublier ce que je pense de ce deces

3- Les Ursulines enseignaient aux pensinnaires pour devenir infirmieres-- Qui sont ses infirmieres ( au moins une non?)
4- A't'il eu lieu une eulogie, messe, priere,-- si oui, a quel endroit, Les Ursulunes ? Eglise ? Hopital ?
5- Existait-il une maison funerair ?  Laquelle ?-- Meme si la decedee etait en face des Ursulines a partir de l'hopital
6-Aucun parent a son deces-- sa mere est decedee, pui son pere est occupe avec sa troisieme femme et d'autre enfants 
7- Comment savoir reellement  si Jeannette passait vraiment les etes avec les Ursulines-- desole, a moins de preuves concrete,s.
8-Aucun document relatant de sa maladie ? Meme a l'hopital ? Invraisemblable pour moi.
9- Ou c'est ecrit qu'elle est adoptee par les Ursulines ?
10- Ou c'est ecrit qu'elle passe ses etes avec les Ursulines!
11-Pour terminer le dr Constantin avait (ou au moins utilisait) une avion nommee "Vigilance"

Puis voici ce qui me tracasse le plus!!!


La pierre tombale!!!!


Je sait pas combien de fois je l'ai regarde, mais cette pierre  a son propre mystere.
Regardons de tres pres cette pierre. Elle est montee sur un autre monument, regarde juste en-dessous,a la droite, il y manque un morceau, soit de ciment ou autre.

Details, details, details!!!!!

Cette pierre est trop petite a mon avis pour etre a cette hauteur. De plus, elle est situee juste au pied d'un arbre, qui par lui-meme semble la proteger tout en meme temps attirer l'attention des gens,  comme celle de Christian.
Comme Christian la deja mentionne, apres 14 ans de recherches, personnne n'a decouvert comment Jeannette est arrivee a cet endroit.
Donc, par deduction, je suspecte que cette pierre tombale provient d'ailleurs!! 
Maintenant, peut-on retracer qui a scisele cette pierre, qui en a fait la demande, ou a''t'elle ete installee la premiere fois ?

Je l'ai trouve le dr Constantin!!
Il est ici!!

Regarde la photo !! 

C'est lui!!! Le numero 11!!  Yeeeaaaah!!!!!


https://www.facebook.com/ChambreCommerceRoberval/photos/a.121176497995447.23993.117127111733719/124994994280264/?type=1&theater

Dixpeny!! Haha! Que de questions ! ;)
Vais tenter quelques réponses point par point.

Je te reviens le temps de rédiger tout ça!

Des membres de la Chambre de commerce du Saguenay à Roberval, le 19 juin 1913. 1. Art. Fortin, 2. Alf. Boily, 3. Adélard Lemay, 4. J.-A. Lefebvre, 5. Arthur du Tremblay, 6. J.-B. Carbonneau, 7. R. Truchon, 8. L.-H. Carrier, 9. Léger Brousseau, 10. Henri Jalbert, 11. Dr Jules Constantin, 12. Nérée Pouliot, 13. Albert Lemieux, 14. L.-P. Girard, 15. Alp. Tremblay, 16. Gonzague Tremblay, 17. Armand Lévesque, 18. David Néron, 19. Elz Dufour, 20. Thomas-Louis Bergeron, 21. Isidore Couture, 22. L.-P. Desbiens, 23. D.-V. Morrier, 24. Louis Brassard, 25. Alb. Lamontagne, 26. T. Minier, 27. J. É. A. Dubuc, 28. Louis-Jos. Lévesques, 29. W. Gingras, 30. Geo. St-Pierre, 31. Philéas Hamel, 32. Adolphe Lapointe, 33. A. Brassard, 34. Geo. Lévesque, 35. J.-E. Houseman, 36. J.-L. Simard, 37. Arthur Martel, 38. Dr A. Riverin, 39. Dr L.-N. Michaud, 40. J.-É. Boily, 41. J.-B. Simard, 42. Jos. Otis, 43. Armand Tessier, 44. Errol Lindsay, 45. Jean Perron, 46. L. Nicole, 47. Alf Wagner, 48. A. Verreault, 49. L.-A. Couet, 50. Ag. Lepage, 51. ?, 52. A. Langlais. Source : ANQC, Coll. de la SHS, carton 5398

   devait être vieux en titi ton Dr Constantin pour avoir une avion cette photo date de 1913    

dixpenny a écrit:Je l'ai trouve le dr Constantin!!
Il est ici!!

Regarde la photo !! 

C'est lui!!! Le numero 11!!  Yeeeaaaah!!!!!


https://www.facebook.com/ChambreCommerceRoberval/photos/a.121176497995447.23993.117127111733719/124994994280264/?type=1&theater

Denise!! l'a-tu trouve ? Quelle rangee pis quelle colonne?
Ben woyons Denise!! Les freres Wright y ont invente l'avion, faque......

Télécharger - Centre d'archives Domaine-du-Roy
centrearchivesddr.jimdo.com/app/.../PB8+Coll.+Maurice+Cossette.pdf?t...
(annotés) p.12 Photographies: Avion La Vigilance, terrain du Dr Constantin, résidence et ... p.35 Photocopies de photos: Avion Canso, bateaux Le Mistassini, ...

Concernant toute l'histoire des prêtres, curés et témoins débattu aujourd'hui. Voici ce que nous savons. Effectivement c'est le prêtre de Roberval qui a signé l'acte. Il y avait deux témoins sur lesquelles tu te posais des questions. Premièrement joseph Gauthier. Tu émettais l'hypothèse qu'il était né en 1888 et avait donc 13 ou 14 ans. Ce n'est pas impossible. Toutefois le fait est que j'en ai trouvé un autre qui était curé ET enseignant dans une école à Roberval. Aussi, si tu vas voir la photo de groupe des élèves de ce collège que j'ai publié ce pm, tu verras que parmi ses élèves il y a un thomas-Louis Paradis. Aussi, on sait qu'à compter de 1907 un prêtre a débuté ses fonctions dans le village voisin de Roberval. Donc mon hypothèse était la suivante: est-il possible que le signataire de l'acte de 1901(qui n'était p e même pas curé à ce moment en 1901), le curé sur la photo du séminaire en 1904 et le prêtre à Ste-edwidge en 1907 soit LA même personne? Si c'est le cas, en 1901 il était p e juste un curé assistant et enseignant et il aurait pu facilement prendre l'un de ses élèves (Thomas-Louis Paradis) pour signer.

Denise ne semble pas croire à cette théorie. Par contre si ce n'est pas ça, ça veut dire qu'en 1901 à Roberval il y avait deux Thomas-Louis Paradis et deux Joseph Gauthier. Pas impossible évidemment. Mais je voulais juste émettre cette hypothèse et creuser un peu.

Car SI ce sont les mêmes, on a une photographie de ses deux témoins (photo de groupe du collège).

Voilà pour ta première interrogation.

Suite à venir, rédaction en cours!!

Y avait pas de maisons funéraires à cette époque les personnes décédées étaient sur des planches de bois genre comme celle-ci


et après une couple de jours à veiller le corps jour et nuit ils les mettaient en terre dans une tombe

attention pour ne pas faire de la romance autour du Joseph Gauthier et de Thomas-Louis je vous en ai donné la preuve

je vais sortir les actes de mariages de Joseph Gauthier et de Thomas-Louis on verra bien si ce sont les mêmes signatures

Ta question 1 -> je me pose la même question que toi et j'ai émit ce pm la possibilité qu'elle soit morte à l'hôpital. Mais.. Pas de preuve.

Question 2: oui un hôpital existait. Mené de mains de maîtres ;) par les sœurs Augustines. Je leur ai déjà écrit il y a plusieurs mois pour savoir si elles ont gardés des archives mais je n'ai même pas eu de réponse...

Question 3 : non. Les Ursulines à Roberval n'enseignaient pas pour devenir infirmière. Elles enseignaient aux jeunes filles uniquement, pour devenir... Devenir... De bonnes agricultrices (vie pratique, etc), en plus des cours réguliers évidemment.

Question 4: aucun élément de réponse à cette question pour le moment.

Question 5: bonne question ça! Je ne sais pas. Par contre Jeannette est décédée le 3 juin et inhumée le 5. Pas bcp de temps pour ce genre de cérémonie. Hypothèse: simple service des Ursulines et élèves lors de l'enterrement le 5?

Question 6: exact

Question 7... Pas simple ça... Les éléments biographiques de Jeannette me provienne d'une conversation que j'ai eu avec le service des archives des Ursulines en 2007. La dame me lisait un document. Donc ce document a existé. Toutefois, et là le mystère va grandir encore, lorsque j'ai rappelé l'an dernier pour avoir physiquement ce document il avait mystérieusement... Disparu!! Pourquoi?? J'étais trop curieux?

Question 8: vrai. Curieux. Encore là, ces détails m'ont été donnés en 2007 lors de la même conversation. Elle devait bien lire quelque chose et n'inventait pas à mesure! Si elle n'avait rien eu entre les mains elle m'aurait simplement dit "on a rien!"

Question 9: prendre le terme "adoptée" au sens sentimentale, pas légale. Encore là: lors de ma conversation en 2007.

Question 10 : idem: conversation 2007.

Question 11: je ne sais pas! ;)


Pierre tombale maintenant.. Rédaction en cours!!

Dixpeny: je n'ai pas eu le temps encore désolé. J'avais écris ici que j'avais un contact à Roberval pour creuser ça mais... Trop de choses à regarder en même temps! À venir!

Haha! Suis crampé de rire là.. Denise qui a toujours peur que je fasse de la romance!!! Hahaha!!!

voici le Joseph Gauthier qui signe au décès de notre tite Jeannette est le fils de l'autre

comparaison des signatures



à son mariage

son mariage état civil

il avait 32 ans en 1926 donc  né en 1894 et il avait à peine 7 ans Ouf,, au décès de Jeannette  fort possible.. mais.. y a un mais

la romance ahahhahahaha

chus crampée moi aussi ça va faire remonter mes globules blancs bonne affaire

C'est le même Thomas-Louis à son mariage la signature est presqu'identique


je considère que c’est une seule et même personne aux deux événements au décès et à son mariage

Voici le lien avec le Joseph Gauthier qui signe au décès de Jeannette
Sa femme lui a peut-être montré à écrire ou un de leurs enfants en tk


 
1.  Jean-Baptiste Belgrade Jeame (fils de Jean-Baptiste Belgrade Jeame et Françoise Fontaine).
 
     Il a épousé Catherine Nadeau, 13 octobre 1809 à St-Henri, Lévis.
 
                             Enfant(s) :
            2.       i.     Ursule Jam.
            3.       ii.    Thomas Jam.
 
 
 
2.  Ursule Jam.
 
     Elle a épousé Édouard Coudé Cunningham, 9 mai 1865 à Notre-Dame, Roberval (fils de Jean-Baptiste Patrice Coudé Cunningham et Anne-Marie Lemieux).
 
                             Enfant(s) :
                      i.     Éléonore Coudé Cunningham.
 
                             Elle a épousé Joseph Gauthier, 23 novembre 1891 à Notre-Dame-du-Lac, Roberval (fils de Théodule Gauthier et Marcelline Lavoie).
 
3.  Thomas Jam.
 
     Elle a épousé Léocadie Boivin, 17 novembre 1845 à St-François-Xavier Chicoutimi (fils de Célestin Boivin et Marguerite Simard).
 
                             Enfant(s) :
                      i.     Thomas Jam.
 
                             Il a épousé Marie-Louise-Justine Lizotte, 13 janvier 1880 à Notre-Dame-du-Lac, Roberval, Lac-St-Jean, n. 1 août 1856 à St-Roch-des-Aulnaies (fille de Maurice Lizotte et Justine Lévesque), baptême 2 août 1856 à St-Roch-des-Aulnaies.

Donc, pour mettre ça dans une phrase, ça revient finalement à ceci:

Le Joseph Gauthier qui a signé l'acte de décès de Jeannette est le cousin par alliance de Thomas "Tomy" Jamme. celui-là même qui, avec sa femme Justine Lizotte (sœur du curé Lizotte entre 1890 et 1900), ont quittés Roberval en 1891 pour s'établir dans la même région que George Cauchy (père de Jeannette).

Toute est dans toute....

oui je crois que c'est ça en effet

et voici pour les Lizotte maintenant



 
1.  Maurice Lizotte (fils de Louis Lizotte et Catherine-Charlotte Dupéré).
 
     Il a épousé Justine Lévesque, 6 mars 1848 à St-Georges-de-Cacouna (fille de Joseph Lévesque et Céleste Dubé).
 
                             Enfant(s) :
                      i.     Joseph Ernest Lizotte, n. 11 mars 1849 à St-Roch-des-Aulnaies, profession prêtre.
                      ii.    Marie-Louise-Justine Lizotte, n. 1 août 1856 à St-Roch-des-Aulnaies, baptême 2 août 1856 à St-Roch-des-Aulnaies.
 
                             Elle a épousé Thomas Jam, 13 janvier 1880 à Notre-Dame-du-Lac, Roberval, Lac-St-Jean (fils de Léocadie Boivin et Thomas Jam).

http://www.les2soeurs.com/fr/histoire.html

t'as de la matière pour ton téléroman comme ça se peut pas

Le Quotidien
    Le curé Joseph-Ernest Lizotte immortalisé

Publié le 02 novembre 2010 à 09h30 | Mis à jour le 02 novembre 2010 à 09h30

Le buste du curé Joseph-Ernest Lizotte, décédé en 1934, a été dévoilé hier en présence de plus d'une quarantaine de personnes, dont Jean Gagné, le curé de la paroisse Notre-Dame de Roberval, Jérémie Giles, sculpteur, le maire Michel Larouche et Raynald Guillemette, représentant du ministre Denis Lebel.



Laura Lévesque
Le Quotidien
(ROBERVAL) Le curé Joseph-Ernest Lizotte, un des principaux fondateurs de Roberval qui a consacré sa vie à plusieurs causes éducatives est maintenant immortalisé devant l'église Notre-Dame.
Dévoilé en grande pompe, hier, devant plus d'une quarantaine de personnes, le buste du curé Lizotte est le sixième du «circuit des bronzes» de la ville de Roberval. C'est le premier buste dévoilé depuis la mort de l'artiste robervalois Léonard Simard, l'un des instigateurs de ce circuit.
Le sculpteur de Saguenay, Jérémie Giles, a accepté de prendre la relève en suivant les traces de son prédécesseur.
«Léonard aurait sûrement approuvé le buste. Je l'ai fait dans son esprit», exprime Jérémie Giles, dont la griffe rayonne au-delà des frontières régionales.
Et ce dernier a tenu à applaudir la ville de Roberval et ses citoyens. En effet, le «circuit des bronzes» vit grâce aux dons de plusieurs gens d'affaires, de médecins, architectes et de familles bien nanties de la municipalité.
«J'ai tellement aimé l'accueil des gens de Roberval que je suis prêt à continuer gratuitement, poursuit spontanément M. Giles. Le circuit est dans une ville dynamique, dans la capitale culturelle du Lac-Saint-Jean et peut-être même du Saguenay-Lac-Saint-Jean.»
En plus du curé Lizotte, le père de la Traversée, Martin Bédard, Georges-Henri Lévesque, Horace-Jansen Beemer, mère Saint-Raphael et mère Saint-Bernard font également partie du circuit qui longe le centre-ville de Roberval. Et le comité responsable du projet souhaite honorer encore bien d'autres bâtisseurs. Le prochain à être immortalisé sera dévoilé dans quelques mois. Les responsables préfèrent garder la surprise.
«Nous allons continuer à mettre en valeur notre patrimoine. Car nous avons tendance à oublier ce qu'ont réalisé nos ancêtres», a conclu le maire de Roberval, Michel Larouche, rappelant l'immense héritage du peintre-sculpteur Léonard Simard.

Source : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/201011/02/01-4338508-le-cure-joseph-ernest-lizotte-immortalise.php

Ses funérailles il y avait autant de signatures qu'au décès du Curé Labelle

http://www.ursulines-uc.com/images/edit/241593674580236.pdf

Roberval avec de bellees photos des Ursulines


http://ville.roberval.qc.ca/images/stories/pdf/guidepatrimoine.pdf

Circuit patrimonial de Roberval

http://www.letoiledulac.com/Actualites/2011-09-06/article-2741576/Un-dernier-hommage-aux-Ursulines-de-Roberval/1

Un dernier hommage aux Ursulines de Roberval










Publié le 06 septembre 2011
Mgr André Rivest. (Photo : Daniel Migneault)

La communauté religieuse fait ses adieux lors d’une cérémonie à l’Église Notre-Dame

La communauté religieuse des Sœurs Ursulines fait ses adieux à Roberval après 129 ans de présence. Plus de 1000 personnes ont assisté à la cérémonie à l’église Notre-Dame de Roberval dimanche le 4 septembre dernier.
C’est l’évêque du Diocèse de Chicoutimi, Mgr André Rivest, qui a présidé la messe. Une forte pluie s’est abattue sur l’église pendant une bonne partie de la célébration, comme si le Seigneur lui-même pleurait leur départ.
D’entrée de jeu, un diaporama retraçant l’histoire de ces pionnières a été présenté aux convives. Par la suite, le Curé Joseph-Ernest Lizotte, qui était en poste en 1882, et Mère-Saint-Raphaël, celle qui a été la première supérieure à Roberval, sont venus eux-mêmes parler des débuts de la congrégation. Ils étaient bien sûr personnifiés par des comédiens.
Il faut se rappeler que la première école ménagère au Canada a été créée à Roberval. Les Ursulines ont formé des centaines de jeunes femmes à devenir de bonnes maîtresses de maison dans un milieu où l’agriculture était prédominante.

Benoît Bouchard a aussi livré un témoignage sur leur contribution : « Il y a une critique injuste aujourd’hui envers l’Église. Jamais une communauté comme la nôtre n’aurait ou survivre sans les religieuses. C’est une partie d’elle-même qu’elles restent derrière. Il faut autant de courage pour partir que pour venir. La mémoire collective devra transmettre leur histoire », espère-t-il.

Mgr André Rivest a consacré son homélie aux Ursulines : « Cette heure est chargée d’émotions : reconnaissance, déchirement, tristesse s’entremêlent. L’église est remplie. Les gens du Lac sont présents. Les gens d’ici sans vous ne seraient pas ce qu’ils sont », croit-il.
Des représentants de la Commission scolaire du Pays-des-Bleuets, de la Ville de Roberval et de la communauté des Sœurs Notre-Dame-du-Bon-Conseil ont aussi tenu à adresser de bons mots aux Ursulines.
Sœur Michèle Leblanc a pris la parole aux noms des Ursulines : « Nous quittons sans quitter. Les souvenirs et les prières n’ont pas de frontières. Il faut toujours suivre le Seigneur là où ils nous appellent », mentionne-t-elle.
« Merci pour votre foi sur laquelle notre communauté chrétienne peut s’appuyer », a remercié l’abbé Jean Gagné.

Source : http://www.letoiledulac.com/Actualites/2011-09-06/article-2741576/Un-dernier-hommage-aux-Ursulines-de-Roberval/1

pages historiques sur les Ursulines de Roberval  dans ce volume
pages 249 à 267


[url=https://books.google.ca/books?id=kHPfeVWM0ucC&pg=PA251&lpg=PA251&dq=cur%C3%A9+Joseph+Lizotte+roberval&source=bl&ots=CTW8towOR6&sig=kLVxGCzgjJK3yDUbPinimdikAq4&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjyqJyN4M3KAhWKRiYKHSi_CckQ6AEITDAJ#v=onepage&q=cur%C3%A9 Joseph Lizotte]https://books.google.ca/books?id=kHPfeVWM0ucC&pg=PA251&lpg=PA251&dq=cur%C3%A9+Joseph+Lizotte+roberval&source=bl&ots=CTW8towOR6&sig=kLVxGCzgjJK3yDUbPinimdikAq4&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjyqJyN4M3KAhWKRiYKHSi_CckQ6AEITDAJ#v=onepage&q=cur%C3%A9%20Joseph%20Lizotte%20roberval&f=false[/url]


Présentation de la communauté
La fondation du Monastère des Augustines et de l'Hôtel-Dieu de Roberval

Tradition: Christianisme
Appartenance: Catholicisme (rite latin)
Diocèse, association ou regroupement: Diocèse de Chicoutimi
Communauté religieuse: Augustines de la Miséricorde de Jésus
http://www.ipir.ulaval.ca/media/fiches/375-%20C-CRC-A.M.J.R.-02-2010-01/thumbnails/1%20LHotelCommercial1918_f.jpg
L'Hôtel Commercial, 1918
© Archves A.M.J.R., soumis à copyright
http://www.ipir.ulaval.ca/fiche.php?id=375
Dès 1878 les prêtres Abbé Joseph-Ernest Lizotte (1905), Abbé Louis-Georges Paradis (1910), Abbé Georges Bilodeau, curé fondateur et citoyens de Roberval se préoccupent d’obtenir des soins adéquats pour les malades de la ville et de la région. Les mois et les années s’écoulent et un comité de fondation est institué. Les Augustines de Chicoutimi sont approchées pour une fondation à Roberval. Toutefois, ce n’est que le 24 mai 1918 que six religieuses foulent le sol sur les rives du Lac Saint-Jean. L’Hôtel commercial devient l’Hôtel-Dieu de Roberval. Mère Saint-Bernard (Marie-Louise Gosselin) en est la supérieure, Mère Sainte-Eugène (Stella Truchon) l’assistante, Mère Saint-Pierre (Marie-Eugénie Guay), Mère Saint-Ignace (Diana Simard), SS. Marie-de-la-Visitation (Marie-Anne Tremblay) tourtière, Sœur Sainte-Julie (Marie-Anne Boily) converse.
Les débuts sont difficiles et la petite communauté vit à la limite de la pauvreté. Les religieuses triment dur pour assurer le nécessaire en ce qui regarde la nourriture et les médicaments. Heureusement, elles sont supportées par des dames bénévoles. Les années 1920 s’inscrivent dans la période grise de l’histoire de l’Hôtel-Dieu. Malgré un manque de personnel, le nombre de vocation augmente.
Le matin du 24 mai 1928, dixième anniversaire de la fondation de l’Hôtel-Dieu c’est la catastrophe! Il y a cinq pieds d’eau dans les caves. Que se passe-t-il? Une estacade de la Price Brothers se brise et libère un million de billes. La situation est extrêmement grave. C’est la troisième fois que les Hospitalières subissent les ravages des eaux du lac qui envahissent cette fois non seulement les rives, mais la cour, l’étable, le hangar et toutes les dépendances. Les vaillantes hospitalières traversent l’épreuve avec courage et ténacité.
En 1936, l’épidémie de la tuberculose affecte toute la région et la décision est prise de construire un sanatorium. Il ouvrira ses portes en 1938. En 1942, une première aile s’ajoute à la section centrale et en 1947 une autre aile est construite du côté opposé. En 1965, une autre construction complète le complexe hospitalier de cinq étages.
Le 1er novembre 1944, les Augustines ouvrent un juvénat dans leur Monastère. Les jeunes filles qui y sont admises ont l’avantage de poursuivre leurs études en vue de leur préparation au cours d’infirmière, tout en se formant à la vie religieuse.
D’année en année, l’hôpital a grandi jusqu’à l’avènement de l’assurance maladie et l’assurance hospitalisation. Un grand bouleversement dans la vie des communautés religieuses. Pour demeurer fidèles au charisme de miséricorde, des œuvres nouvelles ont surgi de l’initiative communautaire, telles l’aide aux alcooliques, l’aide aux femmes en difficulté, l’accueil des convalescents, de dames âgées. Sans compter la collaboration apportée aux missions de la Fédération des Augustines. Dix des nôtres ont œuvré à la Fédération, au Paraguay et en Haïti. Deux religieuses sont encore en mission.
Le 23 mars 2002 après la conflagration qui a ravagé le Couvent des Ursulines de Roberval, une nouvelle orientation se dessine : l’accueil de ces dernières avec lesquelles elles ont à cœur de vivre la convivialité, pour marcher résolument à la suite du Christ.
En cette année 2010, 29 religieuses à vœux perpétuels, 2 professes à vœux temporaires, 2 novices forment la communauté.

Localisation

Municipalité: Roberval
Région administrative: 02 Saguenay-Lac-Saint-Jean
MRC: Le Domaine-du-Roy
Lieu: Monastère de l'Hôtel-Dieu de Roberval, 414, rue Brassard, Roberval, G8H 2E1
Téléphone: (418) 275-5097
Site Web: http://www.augustines.org; www.augustines.ca

GAGNÉ, MALVINA, (baptisée Marie-Éléonore-Malvina), dite Saint-Raphaël, institutrice, ursuline, supérieure fondatrice du monastère de Roberval, Québec, et conseillère en agriculture, née le 6 novembre 1837 à Saint-Michel, près de Québec, fille de Joseph Gagné, maître pilote, et de Luce Mercier ; décédée le 29 décembre 1920 à Roberval.

Malvina Gagné n’a que deux ans lorsque son père périt dans une tempête sur le fleuve Saint-Laurent. Sa mère devient couturière pour faire vivre les quatre enfants de la famille. Après quatre ans de veuvage, elle épouse le marin négociant Prudent Lacombe, et la famille peut vivre plus à l’aise. Malvina fait ses premières études à Saint-Michel et se révèle une bonne élève. Durant l’été, la fillette réside souvent chez un oncle cultivateur où elle développe son goût pour l’agriculture.

Malvina Gagné commence sa carrière d’enseignante à l’âge de 15 ans, à l’île d’Orléans. L’année suivante, elle retourne à Saint-Michel pour se perfectionner en mathématiques et en dessin. À 17 ans, elle reprend l’enseignement en compagnie de sa sœur aînée, cette fois à L’Isle-Verte. C’est là qu’elle rencontre l’abbé Jean-Lazare Marceau, à qui elle confie son désir de se faire religieuse. Le 15 août 1861, elle entre au monastère des ursulines de Québec où, quelques mois plus tard, le 21 novembre, elle prend l’habit et reçoit le nom de mère Saint-Raphaël. Le 21 novembre 1863, elle prononce ses vœux perpétuels. Diplômée de l’école normale que dirigent les ursulines, elle laisse sa marque auprès de son professeur de mathématiques, François-Xavier Toussaint*, qui note qu’elle avait une « tête d’homme » pour cette matière, raconte sa biographe sœur Irène-Marie Fortin.

Tantôt responsable de l’infirmerie et de la pharmacie, tantôt maîtresse de classe ou maîtresse de division, tantôt sacristine ou assistante dépositaire, mère Saint-Raphaël se forme pour le rôle de fondatrice qui l’attend. En 1878, elle devient maîtresse des novices à Chatham, en Ontario. De retour à Québec en 1880, elle n’a que le temps de se préparer pour une nouvelle mission qui l’amènera dans la région du Lac-Saint-Jean au printemps de 1882.

C’est à titre de supérieure que mère Saint-Raphaël quitte Québec, accompagnée de trois religieuses, investie de la mission de fonder un monastère à Roberval qui doit se consacrer à l’éclosion de vocations religieuses et à l’éducation des filles, soutenant ainsi le mouvement de colonisation dans cette région. Après un difficile voyage de plusieurs jours, les sœurs sont accueillies, le 23 mai 1882, par le curé Joseph Lizotte. La construction du monastère, commencée l’année précédente, est inachevée et l’édifice est à peine habitable. Pendant trois ans, les religieuses vivront dans l’indigence et la pauvreté, partageant ainsi le sort peu enviable des colons.

En constatant les besoins du milieu, mère Saint-Raphaël décide d’adapter le programme d’enseignement et d’y ajouter une formation pratique, un apprentissage au métier de femmes de défricheurs et d’agriculteurs qui attend les jeunes filles. Selon l’écrivain Alphonse Désilets, c’est ainsi que commence « la première école ménagère-agricole du pays ». Au début, l’école ménagère coexiste avec le pensionnat et l’on y donne surtout une formation en économie domestique, à laquelle s’ajoutent des cours de la formation régulière. Au pensionnat, les élèves reçoivent une éducation semblable à celle qui est offerte dans les autres couvents, mais elles peuvent aussi profiter de quelques notions données à l’école ménagère. C’est le cours régulier qui permet aux finissantes de se présenter aux examens du Bureau central des examinateurs catholiques pour le concours donnant accès aux brevets d’enseignement.

Durant la première décennie à Roberval, les relations entre mère Saint-Raphaël et les religieuses de Québec demeurent amicales, voire chaleureuses. Toutefois, les problèmes qui assaillent la fondatrice sont nombreux et elle doit constamment composer avec une situation d’endettement, un personnel insuffisant et même des catastrophes comme l’incendie du couvent et de l’école, le 6 janvier 1897, qui tue sept de ses compagnes. Cet univers hostile sert de catalyseur à son tempérament bouillant et entreprenant, et l’oblige à faire appel à ses qualités d’administratrice et de femme d’affaires. Les initiatives avant-gardistes qu’elle prend alors choquent parfois le monastère de Québec, qui la rappelle à l’ordre. Avec humilité et obéissance, elle se soumet chaque fois.

Il faut dire que les progrès de l’école ménagère sont remarquables et que l’établissement aurait même servi de modèle aux écoles du même type qui se développent en Europe. En 1893, l’école est officiellement reconnue par le gouvernement et dès lors peut profiter de maigres subventions de fonctionnement et de bourses pour les élèves. De plus, au fil des ans, le programme s’est élargi aux sciences et techniques agricoles, et la ferme du monastère est devenue un vrai laboratoire de travaux pratiques. Mère Saint-Raphaël travaille étroitement avec les agronomes du département de l’Agriculture et de la Colonisation, et devient une sorte de conseillère pour les cultivateurs de la région, « l’agronome de cette région », au dire d’Alphonse Désilets. Pas étonnant qu’elle obtienne deux médailles du Mérite agricole pour les progrès de la ferme, entre 1892 et 1895.

Après avoir été, entre autres, dépositaire et directrice de la ferme, mère Saint-Raphaël est réélue en 1900 supérieure du monastère pour six ans. Elle en profite pour entreprendre la construction d’un nouveau pensionnat et d’une chapelle. Lorsqu’elle est déchargée du supériorat, elle a près de 70 ans ; elle se consacrera désormais à l’économat et à quelques classes de catéchisme. En 1909, le cours du pensionnat, fusionné avec celui de l’école ménagère, permet la réalisation du nouveau programme d’enseignement ménager, chapeauté par l’université Laval. En 1910, mère Saint-Raphaël a 73 ans et sa santé décline ; elle perd la vue et doit cesser ses activités officielles, mais elle demeure une conseillère appréciée. En 1919, le malheur frappe à nouveau : un incendie détruit l’école ménagère. Toutefois, après cinq années difficiles, les ursulines verront leurs efforts récompensés par la construction de l’école normale assortie d’une école ménagère. La pérennité de l’œuvre d’éducation est assurée.

À la mort de mère Saint-Raphaël en 1920, le Progrès du Saguenay (Chicoutimi) affirme que sa vie « appartient à l’histoire de la région ». Fondatrice d’un monastère d’ursulines et d’une maison d’éducation, mère Saint-Raphaël a su inventer un modèle d’éducation féminine, l’enseignement ménager assorti d’une formation agricole, qui rayonnera dans tout le Québec et même à l’étranger. C’est une formule d’éducation adaptée aux besoins des femmes d’un pays en construction, des femmes appelées à aimer et faire aimer la terre et le foyer. Administratrice progressiste, elle a dû défendre avec vigueur ses initiatives, tout en conservant une humilité et un sens de l’humour qui ont alimenté des relations chaleureuses avec les religieuses de Québec. Conseillère des cultivateurs et « agronome », elle a été une bâtisseuse de pays. Dans son sillage, les cercles de fermières ont été fondés et des finissantes de Roberval y ont joué un rôle actif. Le curé Lizotte, qui l’a accompagnée tout au long de son aventure de pionnière, la considèrait la « femme la plus parfaite, la religieuse la plus digne » qu’il ait rencontrée dans sa vie de prêtre.

Nicole Thivierge

ANQ-Q, CE2-5, 6 nov. 1837, 13 févr. 1843.— Arch. du monastère des ursulines (Québec), 1/J2,3,3, vol. I (corr. de Malvina Gagné de Saint-Raphaël).— M.-E. Chabot, « les Ursulines de Roberval, pionnières au diocèse de Chicoutimi », dans Évocations et Témoignages : centenaire du diocèse de Chicoutimi, 1878–1978 (Chicoutimi, Québec, 1978), 179–189.— Alphonse Désilets, Histoire de mère Saint-Raphaël, ursuline de Québec [...], introd. de C.-F. Delage (Québec, 1932).— I.-M. Fortin, les Pionnières : les ursulines à Roberval de 1882 à 1932 (Saint-Nazaire, Québec, 1982).
http://www.biographi.ca/fr/bio/gagne_malvina_14F.html

Je vais me reposer les amis

Vous avez en masse de lecture pour occuper votre soirée

À demain

de votre compréhension

Tiens!!

http://www.federationgenealogie.qc.ca/avisdeces/avis/pdf?id=627617

Puis pas de maison funeraire a cette epoque ? Mais les croque mort eux autres?
On en parle pas. Non on en parle pas, mais Daniel Naud natif de St Felicien, tanatalogue devenu auteur en parle ici.
Y parle meme d'une bagarre a coup de poings dans un salon funeraire, pis une tite fille qui fait des dessins mysterieux et enigmatiques. Aussi un mangeur de cendres.

simonak!1 je s'rai pas capable de dormir a soir!!!

http://www.letoiledulac.com/Actualites/2015-11-29/article-4359261/Quand-le-croque-mort-sexpose/1

c'est un article de 2015 pas de   va voir tes e-mails je t'ai proposé qq chose pour My heritage

fille de Marie Bernard et Pierer Cauchy

née en 1868

décédée en 1965 d'après le journal


Source entête du journal

J'avais la photo de Arkey et son mari mais pas l'avis de décès qui est très complet! Merci Denise!
J'ai aussi une photo de ses trois filles. Mais comme ce n'était pas de la ligné directe de Jeannette je ne l'avais pas mise dans la recherche. Il y avait assez de monde comme ça! ;)