Re: Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique

par **René Arbour** Jeu 28 Jan 2016, 19:30

Le Quotidien
Le curé Joseph-Ernest Lizotte immortalisé

Publié le 02 novembre 2010 à 09h30 | Mis à jour le 02 novembre 2010 à 09h30
Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique - Page 7 21236910

Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique - Page 7 21236910

Le buste du curé Joseph-Ernest Lizotte, décédé en 1934, a été dévoilé hier en présence de plus d'une quarantaine de personnes, dont Jean Gagné, le curé de la paroisse Notre-Dame de Roberval, Jérémie Giles, sculpteur, le maire Michel Larouche et Raynald Guillemette, représentant du ministre Denis Lebel.

Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique - Page 7 7392

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Laura Lévesque
Le Quotidien
(ROBERVAL) Le curé Joseph-Ernest Lizotte, un des principaux fondateurs de Roberval qui a consacré sa vie à plusieurs causes éducatives est maintenant immortalisé devant l'église Notre-Dame.
Dévoilé en grande pompe, hier, devant plus d'une quarantaine de personnes, le buste du curé Lizotte est le sixième du «circuit des bronzes» de la ville de Roberval. C'est le premier buste dévoilé depuis la mort de l'artiste robervalois Léonard Simard, l'un des instigateurs de ce circuit.
Le sculpteur de Saguenay, Jérémie Giles, a accepté de prendre la relève en suivant les traces de son prédécesseur.
«Léonard aurait sûrement approuvé le buste. Je l'ai fait dans son esprit», exprime Jérémie Giles, dont la griffe rayonne au-delà des frontières régionales.
Et ce dernier a tenu à applaudir la ville de Roberval et ses citoyens. En effet, le «circuit des bronzes» vit grâce aux dons de plusieurs gens d'affaires, de médecins, architectes et de familles bien nanties de la municipalité.
«J'ai tellement aimé l'accueil des gens de Roberval que je suis prêt à continuer gratuitement, poursuit spontanément M. Giles. Le circuit est dans une ville dynamique, dans la capitale culturelle du Lac-Saint-Jean et peut-être même du Saguenay-Lac-Saint-Jean.»
En plus du curé Lizotte, le père de la Traversée, Martin Bédard, Georges-Henri Lévesque, Horace-Jansen Beemer, mère Saint-Raphael et mère Saint-Bernard font également partie du circuit qui longe le centre-ville de Roberval. Et le comité responsable du projet souhaite honorer encore bien d'autres bâtisseurs. Le prochain à être immortalisé sera dévoilé dans quelques mois. Les responsables préfèrent garder la surprise.
«Nous allons continuer à mettre en valeur notre patrimoine. Car nous avons tendance à oublier ce qu'ont réalisé nos ancêtres», a conclu le maire de Roberval, Michel Larouche, rappelant l'immense héritage du peintre-sculpteur Léonard Simard.

Source : http://www.lapresse.ca/le-quotidien/201011/02/01-4338508-le-cure-joseph-ernest-lizotte-immortalise.php

Ses funérailles il y avait autant de signatures qu'au décès du Curé Labelle

par **René Arbour** Jeu 28 Jan 2016, 19:36

http://www.ursulines-uc.com/images/edit/241593674580236.pdf

Roberval avec de bellees photos des Ursulines

http://ville.roberval.qc.ca/images/stories/pdf/guidepatrimoine.pdf

Circuit patrimonial de Roberval

http://www.letoiledulac.com/Actualites/2011-09-06/article-2741576/Un-dernier-hommage-aux-Ursulines-de-Roberval/1

Un dernier hommage aux Ursulines de Roberval

Publié le 06 septembre 2011
Mgr André Rivest. (Photo : Daniel Migneault)

La communauté religieuse fait ses adieux lors d’une cérémonie à l’Église Notre-Dame
La communauté religieuse des Sœurs Ursulines fait ses adieux à Roberval après 129 ans de présence. Plus de 1000 personnes ont assisté à la cérémonie à l’église Notre-Dame de Roberval dimanche le 4 septembre dernier.
C’est l’évêque du Diocèse de Chicoutimi, Mgr André Rivest, qui a présidé la messe. Une forte pluie s’est abattue sur l’église pendant une bonne partie de la célébration, comme si le Seigneur lui-même pleurait leur départ.
D’entrée de jeu, un diaporama retraçant l’histoire de ces pionnières a été présenté aux convives. Par la suite, le Curé Joseph-Ernest Lizotte, qui était en poste en 1882, et Mère-Saint-Raphaël, celle qui a été la première supérieure à Roberval, sont venus eux-mêmes parler des débuts de la congrégation. Ils étaient bien sûr personnifiés par des comédiens.
Il faut se rappeler que la première école ménagère au Canada a été créée à Roberval. Les Ursulines ont formé des centaines de jeunes femmes à devenir de bonnes maîtresses de maison dans un milieu où l’agriculture était prédominante.

Benoît Bouchard a aussi livré un témoignage sur leur contribution : « Il y a une critique injuste aujourd’hui envers l’Église. Jamais une communauté comme la nôtre n’aurait ou survivre sans les religieuses. C’est une partie d’elle-même qu’elles restent derrière. Il faut autant de courage pour partir que pour venir. La mémoire collective devra transmettre leur histoire », espère-t-il.

Mgr André Rivest a consacré son homélie aux Ursulines : « Cette heure est chargée d’émotions : reconnaissance, déchirement, tristesse s’entremêlent. L’église est remplie. Les gens du Lac sont présents. Les gens d’ici sans vous ne seraient pas ce qu’ils sont », croit-il.
Des représentants de la Commission scolaire du Pays-des-Bleuets, de la Ville de Roberval et de la communauté des Sœurs Notre-Dame-du-Bon-Conseil ont aussi tenu à adresser de bons mots aux Ursulines.
Sœur Michèle Leblanc a pris la parole aux noms des Ursulines : « Nous quittons sans quitter. Les souvenirs et les prières n’ont pas de frontières. Il faut toujours suivre le Seigneur là où ils nous appellent », mentionne-t-elle.
« Merci pour votre foi sur laquelle notre communauté chrétienne peut s’appuyer », a remercié l’abbé Jean Gagné.

Source : http://www.letoiledulac.com/Actualites/2011-09-06/article-2741576/Un-dernier-hommage-aux-Ursulines-de-Roberval/1

par **René Arbour** Jeu 28 Jan 2016, 19:48

pages historiques sur les Ursulines de Roberval dans ce volume
pages 249 à 267

[url=https://books.google.ca/books?id=kHPfeVWM0ucC&pg=PA251&lpg=PA251&dq=cur%C3%A9+Joseph+Lizotte+roberval&source=bl&ots=CTW8towOR6&sig=kLVxGCzgjJK3yDUbPinimdikAq4&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjyqJyN4M3KAhWKRiYKHSi_CckQ6AEITDAJ#v=onepage&q=cur%C3%A9 Joseph Lizotte]https://books.google.ca/books?id=kHPfeVWM0ucC&pg=PA251&lpg=PA251&dq=cur%C3%A9+Joseph+Lizotte+roberval&source=bl&ots=CTW8towOR6&sig=kLVxGCzgjJK3yDUbPinimdikAq4&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjyqJyN4M3KAhWKRiYKHSi_CckQ6AEITDAJ#v=onepage&q=cur%C3%A9%20Joseph%20Lizotte%20roberval&f=false[/url]

Présentation de la communauté
La fondation du Monastère des Augustines et de l'Hôtel-Dieu de Roberval

Tradition: Christianisme
Appartenance: Catholicisme (rite latin)
Diocèse, association ou regroupement: Diocèse de Chicoutimi
Communauté religieuse: Augustines de la Miséricorde de Jésus
http://www.ipir.ulaval.ca/media/fiches/375-%20C-CRC-A.M.J.R.-02-2010-01/thumbnails/1%20LHotelCommercial1918_f.jpg
L'Hôtel Commercial, 1918
© Archves A.M.J.R., soumis à copyright
http://www.ipir.ulaval.ca/fiche.php?id=375
Dès 1878 les prêtres Abbé Joseph-Ernest Lizotte (1905), Abbé Louis-Georges Paradis (1910), Abbé Georges Bilodeau, curé fondateur et citoyens de Roberval se préoccupent d’obtenir des soins adéquats pour les malades de la ville et de la région. Les mois et les années s’écoulent et un comité de fondation est institué. Les Augustines de Chicoutimi sont approchées pour une fondation à Roberval. Toutefois, ce n’est que le 24 mai 1918 que six religieuses foulent le sol sur les rives du Lac Saint-Jean. L’Hôtel commercial devient l’Hôtel-Dieu de Roberval. Mère Saint-Bernard (Marie-Louise Gosselin) en est la supérieure, Mère Sainte-Eugène (Stella Truchon) l’assistante, Mère Saint-Pierre (Marie-Eugénie Guay), Mère Saint-Ignace (Diana Simard), SS. Marie-de-la-Visitation (Marie-Anne Tremblay) tourtière, Sœur Sainte-Julie (Marie-Anne Boily) converse.
Les débuts sont difficiles et la petite communauté vit à la limite de la pauvreté. Les religieuses triment dur pour assurer le nécessaire en ce qui regarde la nourriture et les médicaments. Heureusement, elles sont supportées par des dames bénévoles. Les années 1920 s’inscrivent dans la période grise de l’histoire de l’Hôtel-Dieu. Malgré un manque de personnel, le nombre de vocation augmente.
Le matin du 24 mai 1928, dixième anniversaire de la fondation de l’Hôtel-Dieu c’est la catastrophe! Il y a cinq pieds d’eau dans les caves. Que se passe-t-il? Une estacade de la Price Brothers se brise et libère un million de billes. La situation est extrêmement grave. C’est la troisième fois que les Hospitalières subissent les ravages des eaux du lac qui envahissent cette fois non seulement les rives, mais la cour, l’étable, le hangar et toutes les dépendances. Les vaillantes hospitalières traversent l’épreuve avec courage et ténacité.
En 1936, l’épidémie de la tuberculose affecte toute la région et la décision est prise de construire un sanatorium. Il ouvrira ses portes en 1938. En 1942, une première aile s’ajoute à la section centrale et en 1947 une autre aile est construite du côté opposé. En 1965, une autre construction complète le complexe hospitalier de cinq étages.
Le 1er novembre 1944, les Augustines ouvrent un juvénat dans leur Monastère. Les jeunes filles qui y sont admises ont l’avantage de poursuivre leurs études en vue de leur préparation au cours d’infirmière, tout en se formant à la vie religieuse.
D’année en année, l’hôpital a grandi jusqu’à l’avènement de l’assurance maladie et l’assurance hospitalisation. Un grand bouleversement dans la vie des communautés religieuses. Pour demeurer fidèles au charisme de miséricorde, des œuvres nouvelles ont surgi de l’initiative communautaire, telles l’aide aux alcooliques, l’aide aux femmes en difficulté, l’accueil des convalescents, de dames âgées. Sans compter la collaboration apportée aux missions de la Fédération des Augustines. Dix des nôtres ont œuvré à la Fédération, au Paraguay et en Haïti. Deux religieuses sont encore en mission.
Le 23 mars 2002 après la conflagration qui a ravagé le Couvent des Ursulines de Roberval, une nouvelle orientation se dessine : l’accueil de ces dernières avec lesquelles elles ont à cœur de vivre la convivialité, pour marcher résolument à la suite du Christ.
En cette année 2010, 29 religieuses à vœux perpétuels, 2 professes à vœux temporaires, 2 novices forment la communauté.

Localisation

Municipalité: Roberval
Région administrative: 02 Saguenay-Lac-Saint-Jean
MRC: Le Domaine-du-Roy
Lieu: Monastère de l'Hôtel-Dieu de Roberval, 414, rue Brassard, Roberval, G8H 2E1
Téléphone: (418) 275-5097
Site Web: http://www.augustines.org; www.augustines.ca

par **René Arbour** Jeu 28 Jan 2016, 20:01

GAGNÉ, MALVINA, (baptisée Marie-Éléonore-Malvina), dite Saint-Raphaël, institutrice, ursuline, supérieure fondatrice du monastère de Roberval, Québec, et conseillère en agriculture, née le 6 novembre 1837 à Saint-Michel, près de Québec, fille de Joseph Gagné, maître pilote, et de Luce Mercier ; décédée le 29 décembre 1920 à Roberval.

Malvina Gagné n’a que deux ans lorsque son père périt dans une tempête sur le fleuve Saint-Laurent. Sa mère devient couturière pour faire vivre les quatre enfants de la famille. Après quatre ans de veuvage, elle épouse le marin négociant Prudent Lacombe, et la famille peut vivre plus à l’aise. Malvina fait ses premières études à Saint-Michel et se révèle une bonne élève. Durant l’été, la fillette réside souvent chez un oncle cultivateur où elle développe son goût pour l’agriculture.

Malvina Gagné commence sa carrière d’enseignante à l’âge de 15 ans, à l’île d’Orléans. L’année suivante, elle retourne à Saint-Michel pour se perfectionner en mathématiques et en dessin. À 17 ans, elle reprend l’enseignement en compagnie de sa sœur aînée, cette fois à L’Isle-Verte. C’est là qu’elle rencontre l’abbé Jean-Lazare Marceau, à qui elle confie son désir de se faire religieuse. Le 15 août 1861, elle entre au monastère des ursulines de Québec où, quelques mois plus tard, le 21 novembre, elle prend l’habit et reçoit le nom de mère Saint-Raphaël. Le 21 novembre 1863, elle prononce ses vœux perpétuels. Diplômée de l’école normale que dirigent les ursulines, elle laisse sa marque auprès de son professeur de mathématiques, François-Xavier Toussaint*, qui note qu’elle avait une « tête d’homme » pour cette matière, raconte sa biographe sœur Irène-Marie Fortin.

Tantôt responsable de l’infirmerie et de la pharmacie, tantôt maîtresse de classe ou maîtresse de division, tantôt sacristine ou assistante dépositaire, mère Saint-Raphaël se forme pour le rôle de fondatrice qui l’attend. En 1878, elle devient maîtresse des novices à Chatham, en Ontario. De retour à Québec en 1880, elle n’a que le temps de se préparer pour une nouvelle mission qui l’amènera dans la région du Lac-Saint-Jean au printemps de 1882.

C’est à titre de supérieure que mère Saint-Raphaël quitte Québec, accompagnée de trois religieuses, investie de la mission de fonder un monastère à Roberval qui doit se consacrer à l’éclosion de vocations religieuses et à l’éducation des filles, soutenant ainsi le mouvement de colonisation dans cette région. Après un difficile voyage de plusieurs jours, les sœurs sont accueillies, le 23 mai 1882, par le curé Joseph Lizotte. La construction du monastère, commencée l’année précédente, est inachevée et l’édifice est à peine habitable. Pendant trois ans, les religieuses vivront dans l’indigence et la pauvreté, partageant ainsi le sort peu enviable des colons.

En constatant les besoins du milieu, mère Saint-Raphaël décide d’adapter le programme d’enseignement et d’y ajouter une formation pratique, un apprentissage au métier de femmes de défricheurs et d’agriculteurs qui attend les jeunes filles. Selon l’écrivain Alphonse Désilets, c’est ainsi que commence « la première école ménagère-agricole du pays ». Au début, l’école ménagère coexiste avec le pensionnat et l’on y donne surtout une formation en économie domestique, à laquelle s’ajoutent des cours de la formation régulière. Au pensionnat, les élèves reçoivent une éducation semblable à celle qui est offerte dans les autres couvents, mais elles peuvent aussi profiter de quelques notions données à l’école ménagère. C’est le cours régulier qui permet aux finissantes de se présenter aux examens du Bureau central des examinateurs catholiques pour le concours donnant accès aux brevets d’enseignement.

Durant la première décennie à Roberval, les relations entre mère Saint-Raphaël et les religieuses de Québec demeurent amicales, voire chaleureuses. Toutefois, les problèmes qui assaillent la fondatrice sont nombreux et elle doit constamment composer avec une situation d’endettement, un personnel insuffisant et même des catastrophes comme l’incendie du couvent et de l’école, le 6 janvier 1897, qui tue sept de ses compagnes. Cet univers hostile sert de catalyseur à son tempérament bouillant et entreprenant, et l’oblige à faire appel à ses qualités d’administratrice et de femme d’affaires. Les initiatives avant-gardistes qu’elle prend alors choquent parfois le monastère de Québec, qui la rappelle à l’ordre. Avec humilité et obéissance, elle se soumet chaque fois.

Il faut dire que les progrès de l’école ménagère sont remarquables et que l’établissement aurait même servi de modèle aux écoles du même type qui se développent en Europe. En 1893, l’école est officiellement reconnue par le gouvernement et dès lors peut profiter de maigres subventions de fonctionnement et de bourses pour les élèves. De plus, au fil des ans, le programme s’est élargi aux sciences et techniques agricoles, et la ferme du monastère est devenue un vrai laboratoire de travaux pratiques. Mère Saint-Raphaël travaille étroitement avec les agronomes du département de l’Agriculture et de la Colonisation, et devient une sorte de conseillère pour les cultivateurs de la région, « l’agronome de cette région », au dire d’Alphonse Désilets. Pas étonnant qu’elle obtienne deux médailles du Mérite agricole pour les progrès de la ferme, entre 1892 et 1895.

Après avoir été, entre autres, dépositaire et directrice de la ferme, mère Saint-Raphaël est réélue en 1900 supérieure du monastère pour six ans. Elle en profite pour entreprendre la construction d’un nouveau pensionnat et d’une chapelle. Lorsqu’elle est déchargée du supériorat, elle a près de 70 ans ; elle se consacrera désormais à l’économat et à quelques classes de catéchisme. En 1909, le cours du pensionnat, fusionné avec celui de l’école ménagère, permet la réalisation du nouveau programme d’enseignement ménager, chapeauté par l’université Laval. En 1910, mère Saint-Raphaël a 73 ans et sa santé décline ; elle perd la vue et doit cesser ses activités officielles, mais elle demeure une conseillère appréciée. En 1919, le malheur frappe à nouveau : un incendie détruit l’école ménagère. Toutefois, après cinq années difficiles, les ursulines verront leurs efforts récompensés par la construction de l’école normale assortie d’une école ménagère. La pérennité de l’œuvre d’éducation est assurée.

À la mort de mère Saint-Raphaël en 1920, le Progrès du Saguenay (Chicoutimi) affirme que sa vie « appartient à l’histoire de la région ». Fondatrice d’un monastère d’ursulines et d’une maison d’éducation, mère Saint-Raphaël a su inventer un modèle d’éducation féminine, l’enseignement ménager assorti d’une formation agricole, qui rayonnera dans tout le Québec et même à l’étranger. C’est une formule d’éducation adaptée aux besoins des femmes d’un pays en construction, des femmes appelées à aimer et faire aimer la terre et le foyer. Administratrice progressiste, elle a dû défendre avec vigueur ses initiatives, tout en conservant une humilité et un sens de l’humour qui ont alimenté des relations chaleureuses avec les religieuses de Québec. Conseillère des cultivateurs et « agronome », elle a été une bâtisseuse de pays. Dans son sillage, les cercles de fermières ont été fondés et des finissantes de Roberval y ont joué un rôle actif. Le curé Lizotte, qui l’a accompagnée tout au long de son aventure de pionnière, la considèrait la « femme la plus parfaite, la religieuse la plus digne » qu’il ait rencontrée dans sa vie de prêtre.

Nicole Thivierge

ANQ-Q, CE2-5, 6 nov. 1837, 13 févr. 1843.— Arch. du monastère des ursulines (Québec), 1/J2,3,3, vol. I (corr. de Malvina Gagné de Saint-Raphaël).— M.-E. Chabot, « les Ursulines de Roberval, pionnières au diocèse de Chicoutimi », dans Évocations et Témoignages : centenaire du diocèse de Chicoutimi, 1878–1978 (Chicoutimi, Québec, 1978), 179–189.— Alphonse Désilets, Histoire de mère Saint-Raphaël, ursuline de Québec [...], introd. de C.-F. Delage (Québec, 1932).— I.-M. Fortin, les Pionnières : les ursulines à Roberval de 1882 à 1932 (Saint-Nazaire, Québec, 1982).
http://www.biographi.ca/fr/bio/gagne_malvina_14F.html

par **René Arbour** Jeu 28 Jan 2016, 20:07

Je vais me reposer les amis

Vous avez en masse de lecture pour occuper votre soirée

À demain

merci_thankyou

de votre compréhension

par **dixpeny** Jeu 28 Jan 2016, 22:28

Tiens!!

http://www.federationgenealogie.qc.ca/avisdeces/avis/pdf?id=627617

Puis pas de maison funeraire a cette epoque ? Mais les croque mort eux autres?
On en parle pas. Non on en parle pas, mais Daniel Naud natif de St Felicien, tanatalogue devenu auteur en parle ici.
Y parle meme d'une bagarre a coup de poings dans un salon funeraire, pis une tite fille qui fait des dessins mysterieux et enigmatiques. Aussi un mangeur de cendres.

simonak!1 je s'rai pas capable de dormir a soir!!!

http://www.letoiledulac.com/Actualites/2015-11-29/article-4359261/Quand-le-croque-mort-sexpose/1

par **René Arbour** Jeu 28 Jan 2016, 22:44

c'est un article de 2015 pas de va voir tes e-mails je t'ai proposé qq chose pour My heritage Sleep

par **René Arbour** Jeu 28 Jan 2016, 22:46

Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique - Page 7 Marie_11

fille de Marie Bernard et Pierer Cauchy

née en 1868

décédée en 1965 d'après le journal

Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique - Page 7 Marie_12

Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique - Page 7 Marie_12

Source entête du journal
Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique - Page 7 Maurna10

par **Christian** Jeu 28 Jan 2016, 22:59

J'avais la photo de Arkey et son mari mais pas l'avis de décès qui est très complet! Merci Denise!
J'ai aussi une photo de ses trois filles. Mais comme ce n'était pas de la ligné directe de Jeannette je ne l'avais pas mise dans la recherche. Il y avait assez de monde comme ça! ;)

par **Christian** Jeu 28 Jan 2016, 23:19

Aussi, petit détail mais p e important. Je vais être obligé de modifier une affirmation de ce pm : NON, en 1901 il n'y avait pas encore d'hôpital à Roberval. Me suis trompé de 15 ans. De plus j'ignore si dans les installations des Ursulines il y avait un semblant d'endroit pour soigner. Il faut savoir que ce couvent a été détruit en tout ou en partie à 5 (oui 5!) reprises dans son histoire alors pas évident de savoir exactement quoi était où et à quel moment selon les époques.
Donc, selon toute vraisemblance en 1901 c'était encore le dr Constantin qui courait dans les maisons pour soigner les gens sur place.
Pourquoi je dis ça? Parce que ça veut dire qu'il faudra exclure le décès de Jeannette DANS l'hôpital. Ce qui veut dire un décès au couvent même probablement.

Moi ça me bogue pour une ou

par **Christian** Jeu 28 Jan 2016, 23:19

Deux raisons mais bon... Vais faire avec.

par **Christian** Jeu 28 Jan 2016, 23:19

Deux raisons mais bon... Vais faire avec.

par **Christian** Jeu 28 Jan 2016, 23:54

Si elle est décédée au couvent:

Premier bug: vous me direz p e encore que "dans ce temps là c'était comme ça"... Mais moi ça ne me rentre pas dans la tête que lors de l'inhumation il n'y avait que trois personnes (incluant le prêtre!) dont un kid de 14 ans. Pourtant, c'est bien ce qui est écrit et en toutes lettres dans l'acte. Ça revient à dire ceci: la petite fille que les Ursulines ont "adoptées" décède dans leurs murs, elles sont sensées avoir pris soins d'elle pendant "x" temps, et y'a pas un chat qui se présente à l'inhumation alors que le corps est dans la même bâtisse qu'elles?? Moi je crois pas à ça. Évidemment ma passion à moi c'est d'inventer et imaginer des histoires. Mais c'est aussi (et parfois surtout) de décoder les réactions humaines dans des situations. Et cette réaction est tout simplement impossible à mon avis.

Chose certaine "on sait que l'on ne sait pas" comme disait Jean Gabin.
Roberval était un petit village en 1901. Ça ne prenait pas 2 trains et 5 heures de marche pour se rendre à l'inhumation.

Pourtant... Elle est bel et bien décédée à Roberval.

Donc pour moi, pour le moment, ce qui s'est passé est incompréhensible humainement parlant: la petite décède au couvent d'une longue maladie ou subitement le 3 juin, le 4 (on suppose), le docteur vient préparer le corps, et le 5 le prêtre arrive pour l'inhumation, et juste avant d'entrer il "fly" deux personnes au hasard dans la rue dont un kid de 14 ans pour être témoins. Et pour finir y'a pas une religieuse qui se présente pour la cérémonie.

Autant avaler une couleuvre!! ;))

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 00:10

Aussi, sur une note plus humouristique. Le prêtre qui a officié cette cérémonie souffrait à coup sur d'une maladie (oui j'avoue, LÀ je romance) : il était le seul prêtre présent et pourtant il écrit "nous, prêtre sousigné, avons... Bla-bla-bla". Il souffrait certainement de dédoublement de la personnalité pour parler de lui au pluriel comme ça. Il devait se parler et se répondre. Smile

par Invité Ven 29 Jan 2016, 05:49

Ouais....j,aime bien vos dernieres réflexions M.Christian

Tite Sorciere

par **René Arbour** Ven 29 Jan 2016, 07:08

c'est sa tante Georges comme Marie étaient frère et soeur fils et et fille de Pierre et Marie Bernard à moins que je sois aveugle à matin Smile

Christian a écrit:J'avais la photo de Arkey et son mari mais pas l'avis de décès qui est très complet! Merci Denise!
J'ai aussi une photo de ses trois filles. Mais comme ce n'était pas de la ligné directe de Jeannette je ne l'avais pas mise dans la recherche. Il y avait assez de monde comme ça! ;)

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 07:26

Oui oui c'est sa tante! Ce que je voulais dire c'est que ma recherche est rédigée pour le lecteur moyen qui lui, sans juger, préfère suivre 3 ou 4 personnes maximum et ne pas que la trame parte dans toutes les directions. Si il avait fallu que je me mette à raconter la vie des tantes, oncles , cousins, etc, j'aurais perdu tout le monde! ;)

par **René Arbour** Ven 29 Jan 2016, 07:38

dans ce cas là tu dis avoir des informations d'un descendant direct celui même qui t'a fourni la photo de Marie Bernard

c'est toi l'auteur et c'est toi qui décide

par **René Arbour** Ven 29 Jan 2016, 07:40

Nous prêtre soussigné est la formule utilisée dans tous les registres Smile

Christian a écrit:Aussi, sur une note plus humouristique. Le prêtre qui a officié cette cérémonie souffrait à coup sur d'une maladie (oui j'avoue, LÀ je romance) : il était le seul prêtre présent et pourtant il écrit "nous, prêtre sousigné, avons... Bla-bla-bla". Il souffrait certainement de dédoublement de la personnalité pour parler de lui au pluriel comme ça. Il devait se parler et se répondre.

par **René Arbour** Ven 29 Jan 2016, 07:45

le croque mort qui était en l’occurrence le médecin croquait l'orteil de la personne décédée de là l'expression populaire croque-mort Laughing

ensuite le décédé se faisait mettre sur les planches à la maison Laughing

comme cette dame
Jeannette Couchy une histoire hors du commun à découvrir, Oeuvre magnifique - Page 7 Sur_le10

dixpeny a écrit:Tiens!!

http://www.federationgenealogie.qc.ca/avisdeces/avis/pdf?id=627617

Puis pas de maison funeraire a cette epoque ? Mais les croque mort eux autres?
On en parle pas. Non on en parle pas, mais Daniel Naud natif de St Felicien, tanatalogue devenu auteur en parle ici.
Y parle meme d'une bagarre a coup de poings dans un salon funeraire, pis une tite fille qui fait des dessins mysterieux et enigmatiques. Aussi un mangeur de cendres.

simonak!1 je s'rai pas capable de dormir a soir!!!

http://www.letoiledulac.com/Actualites/2015-11-29/article-4359261/Quand-le-croque-mort-sexpose/1

par **dixpeny** Ven 29 Jan 2016, 11:08

Ah ben la! La! Hein!!!
Moe j'vas capoter icitte!!

par **dixpeny** Ven 29 Jan 2016, 11:13

La pierre tombale est pas a la bonne place!!!
Je suis accroche sur ca moi!!!

par **René Arbour** Ven 29 Jan 2016, 11:15

c'est écrit en toute lettre dans son acte de décès chez les Ursulines donc normal qu'elle soit dans leur cimetière

tu me fais rire mon ti Marcel

Laughing

par **René Arbour** Ven 29 Jan 2016, 11:17

remarque que c'était peut-être ben le doigt que le médecin croquait si les orteils étaient trop salles ahhahahahahahhah
Smile

dixpeny a écrit:Ah ben la! La! Hein!!!
Moe j'vas capoter icitte!!

par **dixpeny** Ven 29 Jan 2016, 11:43

Ok! Check ca ici!!

Ca c'est mon point concernant la pierre tombale. Presentement, je suis juste a la surface
Je m'acharne a ca et je suis confident que je trouverai une reponse a ma question
Ce qui suit n'a peut-etre aucun rapport a cette enquete, mais toutfeois une piste a suivre
pour moi personellement.

D'ou provient cette pierre sur une stele comme ca ?

Encore une fois, elle n'appartient pas a cet endroit!!!

J'ai trouve ca
Regarde ici, juste apres la page de l'introduction.
J'ai jamais entendu parler de ca au Chateu-Frontenac a Quebec !! Tres interessant!!

file:///C:/Users/marsl/Downloads/1375-20081104.pdf
Si ca fonctionne pas, alors ;

Rapport annuel de gestion 2007-2008
Centre de conservation du Quebec

France Remillard, restauratrice a l'atelier d'archeologie-ethnologie au Centre de conservation du Quebec

Je n'ai jamais fait autant de recherces sur un seul sujet comme celui-ci et maintenat c'est une passion qui me pousse
presque sans arret. Je n'en mange pas encore, mais pas loin!!!

par **René Arbour** Ven 29 Jan 2016, 12:00

la stèle provient du cimetière des Ursulines de Roberval et elle était cachée sous un arbre

restaurée ou pas la stèle était là pi c,est celle de la petite Jeannette Couchy. arrête de t'acharner comme ça tu ne trouveras pas de réponse claire à cette question.

Personne ne sait quand elle a été restaurée et si elle l'a été.

pi ton lien avec le pour le rapport annuel t'as pas mi la bonne adresse

par **dixpeny** Ven 29 Jan 2016, 13:19

Peut-etre que t'as raison Denise.
Je comprends tres bien que cette stele est bel et bien la.
Christian mentionne qu'apres le transfert des personnes inhumees dans ce cimetiere,
toutes les pierres tombales ont ete pulverisees et enterrees dans le nouveau cimetiere.
Alors pouquoi ? Chose tres inhabituelle , specialement en provenance d'un cimetiere de religieuses.
De plus, on sait aussi qu'aucune religieuse a assistee a l'inhumation, donc autre point important ici
C'est ca qui me tracasse dernierement.
Christian, est-ce-que cette pierre existe encore a ton avis ?

Autre chose que j'ai trouve qui supporte quelque peu mon hypothese.

La corruption existait meme a cette epoque. (pardonnez-moi mes Soeurs, rien avoir avec vous, soyez-en sur)
Je dis ca parce que il y a eu certianes transactions dans
les cimetieres du Quebec quelque peu etranges.
EXEMPLE:
http://www.ccq.gouv.qc.ca/fileadmin/images/textes_continuite/conservation-107.pdf
Regarde en page 2, a droite de la photo ou tu vois la petite fille.
On ramasse une pierre tombale, on la repolie et puis on la revend !! Jamais entendu parler de ca moi!!!
Je ne dis pas que c'est le cas ici, mais comme on sait tous deja, comme le dit si bien le dicton " Il y a roche sous anguille"
j'en suis sur!!!
En parlant de repolissage de pierres, existait-il des endroits au Quebec en 1901 qui polissaient des pierres tombales ?
Tres peu probable. Donc, logiquement parlant, cette pierre tombale a ete placee quelque temps apres le deces de jeannette, voir meme quelque annees apres son deces.

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 15:42

Dixpeny, non, aucune de ces pierres n'existent encore. Pour ce que j'en sais, à date mes 3 photos de ce cimetière auront été les seules prisent sauf évidemment si les Ursulines en ont dans ce qui reste des archives.

Ceci dit, je viens d'écrire à un contact à Roberval qui avait participé physiquement à ce transfert. J'ai posé plusieurs de tes questions. Sais pas si il va avoir envie d'en parler mais bon, qui ne risque rien....

par **dixpeny** Ven 29 Jan 2016, 17:00

Merci Christian.
Quand on s'arrete quelque instants pour essayer d'assimiler toutes ces donnees, on s'apercoit que souvent on arrive a un chemin fourchu. Tout comme il en est le cas ici.
Le depart s'effectue au Quebec vers les annees 1880. On voyage aux Etats-Unis avec une escale a Standed, repart vers l'est dans l'etat de New-york. De cet endroit, probablement a bord d'un train, on sillone de pres la Nouvelle-Angleterre puis se rendre au Nord des Grand Lacs, a North Bay, puis on fait la connaissance du Minnesota en direction Ouest.
On revient en route par le Michigan, Ohio, , l'Ontario sur une differente voie ferroviaire et de retour a Roberval en 1901
Depuis notr point de depart jusqu'a notre retour a la source, soit Roberval en 1901, plusieurs elements se sont ajoutes lors de ce long voyage.
Mais apres cette longue randonnee, nous ne sommes pas plus pret de resoudre cette enigme.!!!!

"mystere et boule de gomme"

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 18:57

Gang, j'ai une hypothèse à vous soumettre pour tenter d'expliquer le fait qu'il n'y avait aucune sœur Ursuline à l'inhumation de Jeannette. Vous trouverez sans doute (et moi aussi!!) que c'est de la haute voltige côté spéculation mais comme je le racontais hier, ce fait est incompréhensible pour moi. Donc voici....

L'énoncé générale est la suivante: et si Jeannette était oui baptisée, mais PAS de confession catholique romaine?

Je m'explique:

le père de Jeannette (Georges) étant natif du Québec était dans doute catho romain.

Par contre pour sa mère.... ?? Marie-Jeannette Winton Cauchy était native du Michigan, oui, mais son ascendance était surtout Irish (les Winton). Nous savons aussi qu'aux États-Unis, à cause de l'immigration Irish et autres, il pouvait y avoir 4,5 ou 6 religions différentes même dans les petites communautés (protestant, évangélique, etc). Oui ces religions étaient catholique avec bapteme mais PAS catho Romain. Alors qu'ici, sauf sur l'île de Mtl c'était catho romain mur à mur.

Mon hypothèse alors: SI, et bien SI, la mère de Jeannette était par exemple protestante et que Jeannette ai été baptisée sous cette religion. Qu'arriverait-il lors de son décès à Roberval dans un milieu 100% eau bénite de Rome?

Comme elle est baptisée ils ne peuvent l'exclure du cimetière des sœurs (ce qui est le cas). Par contre on la met un peu à l'écart (ce qui est le cas). Un prêtre pourrait tout de même la recommander à Dieu lors de l'enterrement (ce qui est le cas) et les sœurs Ursulines, pour une raison de principe, s'abstiendraient d'être présente lors d'une cérémonie d'une "non catho romaine". Et cela n'empêcherait pas ces sœurs d'apprécier la petite.

Évidemment pour le moment ça reste de la grosse romance. Mais ça se trouve p e cet info? Dans les recensements? Autres?

Voilà... Il fallait que j'en parle!! Smile

par **dixpeny** Ven 29 Jan 2016, 20:02

J'ai lu attentivement Christian.
Ce qui me chicote dans ca c'est que les religieuses etaient connues comme etant toutes sans prejudices.
Attestant ainsi aucne discrimination selon race, groupe ethnique, religions etc....

Donc, si c'est le cas ou au moins l'une d'elle n'est pas presente a l'hinumation, alors c'est carrement de l'hypocrisie.
Rappelons-nous que l'hypocrisie est un peche.

Je me demande si ce n'est pas le lien ici, quand et comment est-elle arrivee a Roberval.
si les relgieuses voulaient cacher quelque chose, il est fort probable qu'il y ait aussi quelqu'un d'autre qui faisait parti du maillon manquant.

Je reitere ma question pour la pierre tombale.
Qui l'a commandee ?
Pourquoi si peu de texte inscrit ?
Qui l'a sciselee ?
Dou provient-elle ?
Qui et quand l'a installee a cet endroit ?
Pourquoi a ete t-elle pulverisee au lieu d'etre transferee ?
Existait-il des tailleurs de pierre dans la vicinite de Roberval en 1901 ?

Je sait, je n'y peut rien Denise. C'est comme ca que je fonctionne.
Je fais beaucoup de problemes de logique quotidiennement et c'est peut-etre pour ca
que je poses plusieurs questions. Puis, j'adore les enigmes. Bref, un peu comme un detective.

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 20:13

Dixpeny, j'ai fouillé ça un peu ce pm. Moi je suis convaincu qu'en 1901 et avant et quelques années après, ce cimetière ne comptait que des croix de bois et que les pierres ont été ajoutés par la suite. À ce sujet voici un lien qui te mènera à l'historique du premier tailleur de pierre à Roberval ouvert en 1915.

http://granitmoreau.com/monument_funeraire/a_propos/

Aussi:

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 20:17

Voici le jugement autorisant les Ursulines à déménager le cimetière.

http://citoyens.soquij.qc.ca/php/decision.php?ID=71142D34F096804CC5B6B330768CD970

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 20:30

Pourquoi elles ont été pulvérisées au lieu de transférer? Le cimetière municipale de Roberval est déjà plein à craquer alors il est logique de penser que c'était impossible de mettre 116 personnes de plus d'un seul coup?? Je vois juste ça comme explication. Sans compter les coûts de refaire 116 trous, etc. ??

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 20:30

Pourquoi elles ont été pulvérisées au lieu de transférer? Le cimetière municipale de Roberval est déjà plein à craquer alors il est logique de penser que c'était impossible de mettre 116 personnes de plus d'un seul coup?? Je vois juste ça comme explication. Sans compter les coûts de refaire 116 trous, etc. ??

par **Christian** Ven 29 Jan 2016, 21:37

dixpeny a écrit:J'ai lu attentivement Christian.
Ce qui me chicote dans ca c'est que les religieuses etaient connues comme etant toutes sans prejudices.
Attestant ainsi aucne discrimination selon race, groupe ethnique, religions etc....

Donc, si c'est le cas ou au moins l'une d'elle n'est pas presente a l'hinumation, alors c'est carrement de l'hypocrisie.
Rappelons-nous que l'hypocrisie est un peche.

Je me demande si ce n'est pas le lien ici, quand et comment est-elle arrivee a Roberval.
si les relgieuses voulaient cacher quelque chose, il est fort probable qu'il y ait aussi quelqu'un d'autre qui faisait parti du maillon manquant.

Je reitere ma question pour la pierre tombale.
Qui l'a commandee ?
Pourquoi si peu de texte inscrit ?
Qui l'a sciselee ?
Dou provient-elle ?
Qui et quand l'a installee a cet endroit ?
Pourquoi a ete t-elle pulverisee au lieu d'etre transferee ?
Existait-il des tailleurs de pierre dans la vicinite de Roberval en 1901 ?

Je sait, je n'y peut rien Denise. C'est comme ca que je fonctionne.
Je fais beaucoup de problemes de logique quotidiennement et c'est peut-etre pour ca
que je poses plusieurs questions. Puis, j'adore les enigmes. Bref, un peu comme un detective.

Concernant mon hypothèse je suis tout à fait d'accord avec toi. J'ai du mal m'exprimer.
Ce que je veux mettre en lumière c'est que si Jeannette n'était pas catholique romaine
Ça n'aurait en rien changer le comportement des Ursulines envers elle de son vivant et
Elles auraient très bien pu pratiquer la charité dont tu parles. La-dessus on se suit.
Maintenant... Une fois décédée... Rien ne nous dit que dans leur code de vie il n'y avait
Pas une restriction pour assister à des enterrements de non-catholique romain.
Ça n'a rien à voir avec les sentiments qu'elles pouvaient avoir avec Jeannette mais bien
Un point purement ... Technique, disons.
C'est certain que c'est difficile à trouver comme info sauf se
Trouver une Ursuline historienne qui pourrait éclaircir ce point.
Cette théorie, bien que tirée par les cheveux pour le moment, a l'avantage d'expliquer
Bien des choses d'un seul coup.
Et en passant j'ai cherché un petit 10 minutes et en 10 minutes j'ai trouvé déjà
Deux membres de sa famille Cauchy qui n'étaient déjà plus
Catholique romain dès 1920. Et là je parle des Cauchy, même pas des Winton!

par **dixpeny** Ven 29 Jan 2016, 23:21

Ah!! Merci beaucoup Christian de ces informations.
De plus en plus fascinant!!!

WOW!! Quelle aventure!!!

Surtout les informations relatant du transfert. Je comprends tres bien que transferer
116 corps est une ouvre assez impressive, surtout dans un cimetiere deja a sa limite.
Evidemment on ne ne sait pas grand chose a propos du code de vie des religieuses.
Je suis d'accord sur ce point.

Maintenant, ici se trouve une autre enigme.

A la ligne 5 de l'ordonnance, on lit qu'il y avait 112 religieuses, 2 pretres et 2 pensionnaires.
On lit aussi sur la meme ligne que leur identite est precisee a ""une liste produite au dossier de la cour ""(piece R-2)
A la ligne 6, on lit que les 112 religieuses, 2pretres et 2 pensionnaires soient incinerees si necessaire

Puis a la ligne 8, la requete precise qu'aucune personne "" mentionnee a la liste produite""
Par consequent, il existe une liste des corps qui ont ete transferes

Cette ordonnance date du 22 Aout 2002.

Je sait pas comment te dire ca Christian, mais en 2002, il existait surement certaines specifications gouvernementales relatant a cet effet

Ma conclusion est:
1- Il ya 2 pensionnaires
2- Une liste a ete produite au dossier de la cour(piece R-2)
Ce qui conclus ce que tu as mentionne d'ailleurs

Certes , ca nous dit pas quand Jeannette a apparu a Roberval, parce qu'il y a trop d'ambiguite et il demuere encore plusieurs questions sans reponses.

Pour la pierre tombale, moi aussi je suis convaincu qu'ell n'etait pas la en 1901. D'ailleurs, je l'ai mentionne auparavant.

Pour les tailleurs de pierre, ils debutent en 1915 a Roberval, alors la logique s'applique non?

Juste pour ajouter une petite chose ici Christian, toutes ces notes pourraient tres bien et meme dire ajouter un peu de suspense dans ton roman

Je vais revenir bientot concernant 2 Cauchy qui n'etaient plus catholiqyes en 1920

par Invité Sam 30 Jan 2016, 08:10

Juste un petit recul de ma part pour etre bien sur que j'ai la bonne personne.....

Jeannette/Nettie Winton (Cauchy) épouse de Georges Cauchy décede en 1892.....
elle se marie en 1889........donc elle a 14 ans a son mariage ?

Tite sorciere

par **Christian** Sam 30 Jan 2016, 08:12

Exact!

par Invité Sam 30 Jan 2016, 08:17

donc l'age cité a sur son acte de mariage est inexact ? inscrie 16 ans !!
ok merci

par **Christian** Sam 30 Jan 2016, 09:13

Bon matin tous.

Hier j'ai (finalement) retrouvé une trace légale de la famille Winton au Michigan dans le recensement de 1880. Pas étonnant que je ne trouvais rien à lire la façon dont les noms sont rédigés. Fait nouveau: cette famille n'a pas déménagé directement de la région de New-York vers Oscoda Michigan mais a fait une étape de plus entre les deux. Combien de temps? Ça on ne sait pas.
Ça n'influence en rien tout le reste mais c'est pertinent pour suivre leur trajet. Voilà le lien!

https://familysearch.org/ark:/61903/1:1:MWSC-2KQ

Ce document sera ajouté à la recherche lors de la prochaine mise à jour.

par **Christian** Sam 30 Jan 2016, 09:14

Bon matin tous.

Hier j'ai (finalement) retrouvé une trace légale de la famille Winton au Michigan dans le recensement de 1880. Pas étonnant que je ne trouvais rien à lire la façon dont les noms sont rédigés. Fait nouveau: cette famille n'a pas déménagé directement de la région de New-York vers Oscoda Michigan mais a fait une étape de plus entre les deux. Combien de temps? Ça on ne sait pas.
Ça n'influence en rien tout le reste mais c'est pertinent pour suivre leur trajet. Voilà le lien!

https://familysearch.org/ark:/61903/1:1:MWSC-2KQ

Ce document sera ajouté à la recherche lors de la prochaine mise à jour.

par **dixpeny** Sam 30 Jan 2016, 10:21

Denise!! C'est quoi le nom de l'historien qui faisait pari du forum il y a quelque annes.
Je l'ai rencontre a St Romuald, mis je ne me souviens plus de son nom.
Il ecrivait dans la section " au temps jadis" je crois.
Maudite memoire itou!!

Ok Dnise!! Oublies ca!! Je l'ai trouve!!

par **dixpeny** Sam 30 Jan 2016, 11:44

Bon! Ici j'ai communique avec un historien Quebecois dont j'ai fait sa connaissance il y a quelque annees.
Je lui ai pose quelque questions regardant notre sujet.
J'ai mentionne l'ordonnnce faite en 2002 a la requete des Ursulines pour demenager les corps.
Tout comme moi, il est d'accord qu'i doit y exister certains documents soit a Roberval ou a l'Archveche de Quebec.
Cependant, un probleme esiste

Au cours notre conversation, j'ai decouvert que maintenat au Quebec, lorsque quelqu'un fait une demande de recherche
dans les statisques Quebecoises, specialement concernant la genealogie, les responsables son tres tres retissants a devoiler quoi que ce soit, surtout si l'on est pas de la region.

J'ai aussi appris que si tu te presntes en personne et que tu connais assez bien la region, les responsables deviennent moins
strictes et par consequent pourraient fournir des detais comme ou s'adresser, a qui parler.
Maintenat, mon historien entrprend des demarches a me fournir quelque indices a comment proceder, quel endroit chercher. a qui parler etc.....
J'attends sa reponse avec impatience.

Moi je recherche de ce cote.

Je me suis reveille a matin a 5 heures en repetant toujours pour a peu pres 2 minutes, "2 pensionnaires, 2 pensionnaires, 2 pensionnaires, 2 pensionnaires"

Quelqu'un peut-il me dire si je m'en viens fou ou quoi ?

par **Christian** Sam 30 Jan 2016, 17:22

Dispeny: merci! À la gang on avance!
Moi today je n'ai pas fait de recherche car j'avoue que j'avais ma dose de chercher!
À la place j'ai passé la journée à mettre l'arbre généalogique de Jeannette à jour. J'avais plein d'ajouts à faire mais toujours d'autres priorités! Alors aujourd'hui j'ai pris le temps de faire ça pour me reposer le hamster un peu. L'arbre de Jeannette qui comptait 70 noms en septembre en est maintenant à 150!

Aussi, mes démarches d'hier: j'ai écris à mon contact pour le cimetière -> en attente d'une réponse.
J'ai écris à 5 Ursulines au sujet de leur droit de présence ou pas lors de funérailles non catholique romaine -> en attente de réponse.
J'ai écris à mon contact au service des archives de la ville de Roberval car j'ai identifié quelques documents qui pourraient être d'intérêt. Si ça s'avère je vais acheter des copies numérisées. -> en attente de sa réponse.

par **dixpeny** Sam 30 Jan 2016, 21:40

Tiens!

Porte une attention particuliere aux eleves (2 photos)!!

Je suis sur que Jeannette nous regarde tous et toutes!!!

http://ici.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2013/05/27/005-couvent-ursulines-roberval.shtml

par **René Arbour** Sam 30 Jan 2016, 21:59

C'était René Garant et il ne fait plus partie du forum, il arrêté toute activité

dixpeny a écrit:Denise!! C'est quoi le nom de l'historien qui faisait pari du forum il y a quelque annes.
Je l'ai rencontre a St Romuald, mis je ne me souviens plus de son nom.
Il ecrivait dans la section " au temps jadis" je crois.
Maudite memoire itou!!

Ok Dnise!! Oublies ca!! Je l'ai trouve!!

par **René Arbour** Sam 30 Jan 2016, 22:16

c'est Jeannette/Nettie Winton qui décède en 1892 et Georges se remarie au moins 2 autres fois les mariages ont été déposés dans les premières pages,.

Je ne me souvient pas avoir le rapport sur les Cauchy demain je regarderai ça et vous donnerai les rapport

Tite Sorciere a écrit:Juste un petit recul de ma part pour etre bien sur que j'ai la bonne personne.....

Jeannette/Nettie Winton (Cauchy) épouse de Georges Cauchy décede en 1892.....
elle se marie en 1889........donc elle a 14 ans a son mariage ?

Tite sorciere

par **Christian** Sam 30 Jan 2016, 22:20

dixpeny a écrit:Tiens!

Porte une attention particuliere aux eleves (2 photos)!!

Je suis sur que Jeannette nous regarde tous et toutes!!!

http://ici.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2013/05/27/005-couvent-ursulines-roberval.shtml

Dixpeny, merci de partager cette vidéo. Tu peux bien te douter que je l'avais vu déjà mais
Merci de mettre en lumière la menace qui plane encore et toujours sur ce bâtiment.
C'est assez impressionnant toutes vos recherches car vous, contrairement à moi,
N'avez pas d'attachement sentimental face à cette bâtisse, ce site, et toute l'histoire des
Ursulines de ma ville natale. Je dois avouer (et ça vous aller le comprendre facilement
Puisque c'est la même chose partout) que ce combat pour la préservation de notre
Histoire et patrimoine, que ça soit par la généalogie, faire aimer nos origines, combattre
Pour convaincre les gens que c'est important, etc,
Est très épuisant !
Mais je crois que ça vaut la peine.

par **dixpeny** Sam 30 Jan 2016, 22:26

Moi aussi Chrisitian!! meme si je demeure a l'etrnager, le Quebec avec toute son histoire sera toujours dans ma memoire.
Puis, il y a quelque minutes, j'ai poste un commentaire dans le journal Le Coin Du Lac. Je devrais recevoir une reponse dnas 48 heures d'apres le journal.
Mais toi Christian, etant natif de la region, est-il possible de t'y rendre? A moins que tu soit un peu comme moi, trop eloigne

par **Christian** Sam 30 Jan 2016, 22:30

Dixpeny, oui je vais passer quelques jours à Roberval dès que la neige sera assez fondue pour me donner accès à certains sites (comme le cimetière de Roberval), et aussi idéalement rencontrer les gens des archives de Roberval et autres. Donc sans doute fin mars ou avril.

par **René Arbour** Sam 30 Jan 2016, 23:07

http://www.archipel.uqam.ca/4077/1/M12039.pdf
l’expression croquemort

http://agora.qc.ca/thematiques/mort/documents/les_rites_funeraires_dautrefois_quebec_1880_1940
Les rites funéraires d'autrefois (Québec 1880-1940)

par **René Arbour** Sam 30 Jan 2016, 23:08

Je m'excuse du retard à répondre je viens de sortir de l'hôpital, Ils ont craint pour une embolie pulmonaire j'ai eu la frousse, c’était très inquiétant affraid

Demain je serai plus en forme car suis épuisée. Sleep

par Invité Dim 31 Jan 2016, 06:34

Denise Pelletier Michaud a écrit:c'est Jeannette/Nettie Winton qui décède en 1892 et Georges se remarie au moins 2 autres fois les mariages ont été déposés dans les premières pages,.
Je ne me souvient pas avoir le rapport sur les Cauchy demain je regarderai ça et vous donnerai les rapport
Tite Sorciere a écrit:Juste un petit recul de ma part pour etre bien sur que j'ai la bonne personne.....

Jeannette/Nettie Winton (Cauchy) épouse de Georges Cauchy décede en 1892.....
elle se marie en 1889........donc elle a 14 ans a son mariage ?

Tite sorciere

Je le sais Denise ......je le dis dans ma question repose toi

par **René Arbour** Dim 31 Jan 2016, 12:16

Christian a écrit:Bon matin tous.

Hier j'ai (finalement) retrouvé une trace légale de la famille Winton au Michigan dans le recensement de 1880. Pas étonnant que je ne trouvais rien à lire la façon dont les noms sont rédigés. Fait nouveau: cette famille n'a pas déménagé directement de la région de New-York vers Oscoda Michigan mais a fait une étape de plus entre les deux. Combien de temps? Ça on ne sait pas.
Ça n'influence en rien tout le reste mais c'est pertinent pour suivre leur trajet. Voilà le lien!

https://familysearch.org/ark:/61903/1:1:MWSC-2KQ

Ce document sera ajouté à la recherche lors de la prochaine mise à jour.

par **dixpeny** Dim 31 Jan 2016, 12:28

Aye la!! Ca fait 2 fois que j'essaie de mettre mon message pis ye pas la!!
Bon!, faque........

Bonjour tout l'monde!! Quelle belle journee!!! Ensoleillement nuageux aujourd'hui!!

Ok! Revenons au serieux!!
J'ai communique avec Mr Garant, historien reconnu au Quebec.
Voici ce que j'ai trouve comme informations:

Pour ce qui est des archives a Quebec:

archives@diocesequebec.ca

pierre.lapointe@ecdq.ca

Tel: 1-418-688-1211 Poste 249

par **dixpeny** Dim 31 Jan 2016, 12:35

Christian a écrit:Dixpeny, oui je vais passer quelques jours à Roberval dès que la neige sera assez fondue pour me donner accès à certains sites (comme le cimetière de Roberval), et aussi idéalement rencontrer les gens des archives de Roberval et autres. Donc sans doute fin mars ou avril.

Une note d'humour Christian!!
J'ai des raquettes que j'ai achete a Qubec au magasin Jos Gros-Louis au village Huron a Loretteville. Sont encore neuves. Ya meme encore l'etiquette de Air Canada attache la depuis 36 ans. Je peux te les preter!!

par **René Arbour** Dim 31 Jan 2016, 15:32

Mon Ti Marcel j'essaie de te téléphoner pi t'es pas là

par **René Arbour** Dim 31 Jan 2016, 15:33

oui je sais ma tiet sorcière

Tite Sorciere a écrit:
Denise Pelletier Michaud a écrit:c'est Jeannette/Nettie Winton qui décède en 1892 et Georges se remarie au moins 2 autres fois les mariages ont été déposés dans les premières pages,.
Je ne me souvient pas avoir le rapport sur les Cauchy demain je regarderai ça et vous donnerai les rapport
Tite Sorciere a écrit:Juste un petit recul de ma part pour etre bien sur que j'ai la bonne personne.....

Jeannette/Nettie Winton (Cauchy) épouse de Georges Cauchy décede en 1892.....
elle se marie en 1889........donc elle a 14 ans a son mariage ?

Tite sorciere

Je le sais Denise ......je le dis dans ma question repose toi

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La communauté religieuse fait ses adieux lors d’une cérémonie à l’Église Notre-Dame

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