naissance Éloi Arcand

Il serait né le 20 mai 1913 mais je n'arrive pas à trouver sa naissance.
Ses parents se sont mariés à St-Rémi d'Amherst Cté Papineau
À son mariage sur le document d'état Civil ils indiquent qu'il est né à Amos mais les registres de cette paroisse n'ouvrent qu'en 1915
Merci de votre aide
Hector et Éloi ne naissent pas à Amos les autres enfants sont tous nés à Amos
Hector est né à St-Rémi d'Amherst
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P050

FONDS HECTOR ARCAND.
1898-1987. - 0,14 m de textuels. - 29 documents photographiques. - 1 enregistrement vidéo. - 2 pièces sur autre support.


NOTICE BIOGRAPHIQUE :

Hector Arcand, né le 2 août 1911, est le fils de Raoul Arcand et Paméla Chalifoux arrivés à Amos en 1912. C'est en 1930 qu'il prend charge du restaurant que son père avait adjoint à sa boulangerie en 1922. Avec son frère Éloi, il a été propriétaire du Café Radio pendant plus de trente ans.
Marié à Madeleine Walsh le 15 avril 1951, M. Arcand a aussi été membre directeur de la Société d'histoire d'Amos pendant plus de 10 ans.

Éloi Arcand, né le 20 mai 1913, est le frère de Hector Arcand. De 1931 à 1935 il prend en charge la salle de billard de son père. Il a été ensuite, pendant 13 ans, au service de la Commission des Liqueurs du Québec à Amos. C'est en 1948 qu'il devient copropriétaire du restaurant Café Radio avec son frère Hector.
Marié à Monique Brouillette le 12 janvier 1937, M. Arcand était aussi musicien, il a été membre de la Fanfare d'Amos et a fait partie de plusieurs orchestres d'amateur.

HISTORIQUE DE LA CONSERVATION :

Le fonds a été déposé le 19 juin 1996 par Hector Arcand. Le fonds a été déposé le 19 juin 1996 par Hector Arcand. Un ajout à été déposé le 7 juillet 2006 par Jocelyne Arcand, sa fille.

PORTÉE ET CONTENU :

Le fonds comprend des notes manuscrites de Paméla Chalifoux sur leur arrivée à Amos en 1912, des notes manuscrites de Hector relatives à la vie à Amos dans les années 1920. Il comprend également des coupures de presse sur Louise Arcand, lectrice de nouvelles à Radio-Canada et fille d'Éloi, des publications sur l'historique de la paroisse Ste-Thérèse-d'Avila, des coupures de presse sur l'histoire l'Abitibi, de la famille Arcand et la famille Turcotte, et des photos du Café Radio. Le nouveau dépôt fait en 2006 ajoute au fonds le testament de Raoul Arcand, un extrait du registre des sépultures de la paroisse Sainte-Thérèse d'Amos, le certificat de Communion et de Confirmation de Paméla Chalifoux, de la correspondace relative à l'officialisation du toponyme «Ruelle Arcand» par la Ville d'Amos et des textes rédigés par Hector Arcand sur lui et sa famille pour la Société d'histoire d'Amos.

INSTRUMENTS DE RECHERCHE :

Répertoire numérique détaillé, index thématique et onomastique. Informatisation dans « Archives ». Produit en 1996 et en 2012.
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voici Raoul et Poméla en 1911 région d'Amherst
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  les voici en 1921 ligne 10

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Avec cette page de récit peut-être que le registre de la paroisse a brûlé ou il est né en Ontario
NOTRE VOYAGE EN ABITIBI

(récit de madame Pamela Chalifoux Arcand )

Pamela Chalifoux née en 1887, arrive à Amos à 25 ans , en mai 1912;

elle est décédée le 1e premier janvier 1974,

à l'âge de 86 ans 8 mois et onze jours.

D'abord nous sommes partis de St-Rémi d'Amherst (100 milles) au nord de Montréal. Nous avions un bébé de 9 mois, Hector. Nous sommes arrêtés à Montréal et avons continué par l'Ontario. Arrivé à Cochrane, nous avons eu beaucoup de difficulté à trouver où coucher, nous sommes repartis le lendemain matin à 7 heures (12 mai 1912).

Nous sommes arrivés à Amos (Harricanaw dans le temps) à minuit. Il a fallu 17 heures pour 140 milles, la ligne du chemin de fer était finie jusqu'à l'ouest de la rivière Harricana. Le pont qui était en construction devait raccorder la route qui avançait de Montréal.

Quelques familles étaient déjà arrivées, entre autre les Turcotte, ils étaient arrivés par la rivière Harricana, et étaient là depuis octobre 1910. C'est pourquoi on avait décidé de les rejoindre, d'après eux c'était un pays d'avenir. L'ouvrage, il n'en manquait pas, les lots se sont vendus en 1913; un lot de 100 âcres 3 000$, et un lot de ville 100$ qu'on payait en trois ans.

Notre lot de ville est sur la rue Principale, en face de la fabrique. Notre curé Dudemaine arrivé en août 1913, abattait les arbres et en faisait des feux le soir. Quelques années plus tard, nos ministres du Québec, qui étaient curieux je suppose de voir ce qui se passait en Abitibi, ont annoncé leur visite. Mais voilà qu'à la veille de leur arrivée, le temps s'est mis au froid, et dans la nuit il est tombé 10 pouces de neige. Je crois bien que nos ministres avaient consulté Dorval, car ils avaient tous leurs pardessus d'hiver, même de chat sauvage. Le repas s'est fait dans une petite hôtellerie qui déjà s'était installée.

Je ne me suis jamais ennuyée, seulement les premières années, il y avait beaucoup de feux et le ciel en était toujours obscurci. Un soleil qui perçait à peine.

C'était triste, l'année du grand feu, comme on l'a appelé. On a craint pour nos vies. On avait préparé un peu de bagages pour s'embarquer dans les canots, ils étaient toujours prêts pour aller soit à la pêche ou aux fruits qui étaient très abondants, le feu s'en venait très vite vers nos chalets. Nous nous sommes agenouilllés pour dire notre chapelet pour être épargnés, et Oh joie, le vent a tourné et on a pu revenir avec nos couvertures pour coucher dans nos lits pour dormir.

Et voilà avec beaucoup de travail, des hauts et des bas. On a élevé une belle famille, on était pas riches mais on a toujours bien mangé.

Éloi Arcand a fêté ses 100 ans
Par Guy Lacroix
Mercredi 12 juin 2013 09:38:31 HAE
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Éloi Arcand lors de l’activité soulignant ses 100 ans en compagnie de son épouse Monique (99 ans) avec qui il est marié depuis 76 ans.
AMOS - L’ex-Amossois Éloi Arcand a vu ses 100 ans soulignés de belle façon le 20 mai dernier alors que les dirigeants de la résidence Ambiance de l’Île des Sœurs, où il habite maintenant, lui ont réservé une petite fête.

Né le 20 mai 1913, Éloi Arcand est le frère d’Hector. En charge de la salle de billard de son père Raoul, de 1931 à 1935, il a travaillé par la suite pendant 13 ans à la Commission des liqueurs du Québec d’Amos, qui porte maintenant le nom de Société des alcools du Québec. À partir de 1948, il est devenu copropriétaire du restaurant Café Radio avec son frère, un lieu hautement fréquenté par la population d’Amos.

En plus de célébrer son 100e anniversaire, M. Arcand célèbre cette année ses 76 ans de mariage avec son épouse Monique Brouillette avec qui il a prêté serment le 12 janvier 1937. Il est bien connu pour ses prestations musicales, lui qui a fait partie de la Fanfare d’Amos en plus d’être membre de plusieurs orchestres amateurs.

Une plaque honorifique a été offerte au centenaire par la direction de la résidence où il demeure depuis septembre 2008. Son épouse vient pour sa part de célébrer ses 99 printemps. Ils sont les heureux parents de Renée, Gilles, Joane et feue Louise.

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Vivre en couple et avoir 100 ans
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Publié le 14 avril 2014

Monique Brouillette-Arcand fait désormais partie du club sélect des centenaires.

(Photo : Hugo Lorini)

Un couple centenaire : toujours ensemble après 77 ans de vie commune

Avoir 100 ans, c’est un anniversaire que l’on n’a pas souvent l’occasion de souligner. Pour les Arcand, c’est un deuxième centenaire que l’on célèbre en l’espace d’une année.
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Monique Brouillette-Arcand fêtait son centième anniversaire le 3 avril à la Résidence pour personnes âgées Ambiance à L’Île des Sœurs. Son mari, Éloi Arcand, avait célébré son centième en mai dernier. Le couple cumule 77 ans de vie de couple, quatre enfants, quatre petits-enfants et sept arrière-petits-enfants.

«Ils sont inséparables», a commenté leur plus jeune fille, Joane Arcand, présente lors de la célébration le 5 avril. «Si un n’était pas là, je ne sais pas ce qui arriverait de l’autre. C’est sûr qu’ils habitent encore ensemble. Ils sont plus fragiles, mais toujours autonomes et lucides.»

Résidente de L’Île-des-Sœurs, Arcand fille a voulu que ses parents demeurent plus près d’elle, en plus de profiter du côté pratique de l’île. «Ils sont à la résidence depuis cinq ans. C’était intéressant qu’ils déménagent ici, à proximité de la pharmacie et l’épicerie. À son âge, elle fait encore ses courses!»

La nouvelle centenaire demeure humble devant son exploit. Monsieur Arcand raconte toutefois que le travail explique en partie leur longévité, soulignant sa carrière étoffée ayant œuvré «25 ans dans la restauration, 13 ans à la Commission des Liqueurs et 13 ans au Palais de Justice.» Madame Arcand, qui a étudié la pédiatrie à Montréal, l’a d’ailleurs accompagné au Café Radio, véritable monument à Amos, où ils habitaient. «Elle a même reçu des messages Facebook», s’est surpris leur fille, soulignant le rôle qu’elle avait joué pour toute une génération.

Au-delà du travail, il y a les enfants. Pour Monique Arcand, il n’y a aucun doute, ils symbolisent l’accomplissement dont elle est le plus fière. Lorsque l’on demande quel est le secret de leur union, Monique réplique, «on s’est toujours entendu, et on avait toujours pas mal la même idée. On ne s’est jamais chicané. On n’était pas toujours du même avis, mais ça passait. Je m’occupais des enfants puis lui travaillait.»

De plus en plus de centenaires

Au Québec, on compte 17 centenaires pour chaque 100 000 habitants, selon le dernier recensement de 2011. L’espérance de vie qui augmente explique cette hausse, qui touche plus de femmes que d’hommes.

Si le nombre de personnes qui célèbrent leur centième anniversaire augmente, les couples centenaires sont très rares.

«J’ai fait une petite recherche et je n’ai trouvé qu’un couple – au Lac-Saint-Jean – dans les journaux», souligne Joane Arcand. «Je n’ai pas vu personne d’autre. Je suis à peu près sûre que les couples centenaires, au Québec, on les compte sur les doigts d’une main.»

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naissance Monique Brouillette à St-Narcisse Cté Champlain

rien a date sur sa naissance,

je dirais sous un autre nom,  ou Ontario..

j'ai l'impression que les registres sont perdus
Merci quand même Monsieur Cantin

Voila ta reponse:

le premier cure arrive an aout 1913,  a Amos.  eloi nait en mai 1913. et les registres commencent en 1914>

Notre lot de ville est sur la rue Principale, en face de la fabrique. Notre curé Dudemaine arrivé en août 1913, abattait les arbres et en faisait des feux le soir.




Baptise probablement par un missionnaire itinerant.  ou a la riviere Harricana, ou a Cochrane Ont.  


donc faudrait savoir la paroisse du missionnaire  itinerant  La tuque,  Ontario,  ??????? ou Ottawa..

c'est pour cette raison que je dis que son acte de naissance n'est pas trouvable