Jean (Jehan) Claude, mi'kmaq ou non

rods a écrit:Bonjour,

J'ai découvert que Jehan Claude (dit parfois Jean-Claude Landry mais serait plutôt Jean (ou Jehan) Claude selon Stephen A. White ), père de René Landry marié à Perrine Bourg (1645 à Port Royal, Acadie), est mon ancêtre. Plusieurs le dit Mi'kmaq. J'aimerais avoir votre opinion. Avez-vous quelques indices à me donner... des suggestions de lecture ou des documents autres.

Merci d'avance à tous.

Serge Rodrigue

Ghislaine a écrit:voici ce que j ai trouve sur internet
 

Pour beaucoup d'entre nous des recherches sur la famille Landry, "Jean-Claude Landry» est le point focal de bien des débats! Il représente notre lien entre l'Ancien Monde et le Nouveau Monde. La pensée magique a beaucoup de gens croient les comptes qu'il est à cet égard tandis que d'autres insistent sur ​​la vérification avant d'accepter que la revendication . L'incertitude est accrue en raison de la perte de certains registres paroissiaux acadiens gardés de retour dans les années 1600 qui ont été détruits lors d'un incendie dans le début des années 1700. Mention a été donnée à ce sujet dans un de nos autres sections, mais nous pensons que le sujet est suffisamment important pour mériter son «propre section!

Un récent article de journal publié dans certains domaines de la Louisiane et le Canada a fait référence au fait que Jean-Claude Landry était en effet l'ancêtre de cette ligne particulière de Landry. Dr Don Landry, de Metaire, la Louisiane, l'historien de l'Association Landry famille, a écrit la réfutation suivante pour ces articles dans l'espoir de répondre à la question ..... mythe ou progénitrices?

RÉFUTATION DU MYTHE Jean-Claude Landry ET l'origine supposée de famille Landry
Parfois, au cours Février et Mars 1998, une série en deux parties sur la famille Landry paru dans le Lafayette, en Louisiane "Daily Advertiser" et de nouveau le Dimanche 16 Mars et le dimanche Mars 23, la même article, ou similaire est apparu dans la colonne Damon Veach, le "Louisiana ancêtres »qui est une colonne de généalogie plus répandu, et est publié dans les éditions de la TimePicayune Nouvelle-Orléans, Baton avocat Matin Rouge, Lafayette et, éventuellement, le Lake Charles, Alexandrie et les journaux Shreveport. Selon les articles, les informations sur la généalogie et l'origine de la famille Landry de l'Acadie a été reçue à partir d'un Surrette Paul, historien et généalogiste de Moncton, au Nouveau-Brunswick, Brian Comeaux, du comité pour les Congrès Mondial Acadiennes et de la Louisiane, 1999 et Ray Landry, un membre de l'Association des familles Landry. Malheureusement, les articles semblent être une simple paraphrase du Père Léopold Lanctôt, omi compte de la "Les Landry en Acadie» dans tomes I et II, Éditions du Libre Échange-ISBN 2-89412-003-6 et L'Acadie des origines Léopold Lanctôt, omi Éditions du Fleuve, Montréal, 1988, qui, malheureusement, sont remplis d'erreurs, présentées comme des faits documentés.

Pour les 8 à 10 dernières années, depuis que j'ai fait des recherches généalogiques dans la famille Landry, j'ai couru à travers les chercheurs et les documents écrits par des chercheurs qui tiennent à la théorie selon laquelle les parents de René Landry, le Jeune marié à Marie Bernard, Jean- Claude Landry et Marie Salé.

Le plus que l'on a noté reprises généalogistes, y compris Stephen A. White, généalogiste et historien à l'Université de Moncton Acadiennes Centre d'Etudes à Moncton au Nouveau-Brunswick et le Père Clarence J. d'Entremont, Middle West Pubnico - Yarmouth Co., Nouvelle-Écosse , ont plus que suffisamment réfuté cette théorie. Ils et les autres théorisent que cette erreur a été causée par les premiers recensements de l'Acadie, qui énumère Marie Salé comme la «veuve de Jean-Claude" dans les cenuses de 1671 et 1678, puis dans le recensement de 1686, aucune mention n'a été faite de son défunt mari Jehan Claude, Marie Salé a été recensé à 86 ans et vivant entre René Landry, le Jeunne et la plus ancienne René Landry fils Antoine Landry. Cela a provoqué généalogiste a noté, Archange Godbout, de sauter à la conclusion que, puisque Marie Salé vivait à proximité de René Landry, le Jeune, alors qu'elle était la mère de René Landry, le Jeune. Et encore un plus grand bond a été fait pour conclure que, si Marie Salé était la veuve de Jean-Claude, puis Jean-Claude était le père de René Landry, le jeune et Jean-Claude, en fait, était en fait Jean-Claude Landry, père de René Landry, le jeunne. Je suis sûr que la plupart des chercheurs à comprendre l'importance d'avoir toutes les informations documentées, et je suis sûr qu'ils supposent que, puisque l'information qu'ils ont reçue était à partir de sources crédibles, qu'il a été documentées et factuelles données généalogiques et historiques. Ce que je crains, c'est que, depuis cette erreur a été si largement publiés à travers la Louisiane, en particulier dans les sud de la Louisiane, où la majorité de la population de la Louisiane acadienne réside, ces erreurs se perpétuent pendant une longue période à venir. Et de même que les erreurs des Pères Archange Godbout, Léopold Lanctôt et Adrien Bergeron, Bona Arsenault et d'innombrables autres, ont cru être documentés faits, ces erreurs seront également considérées comme des faits documentés, simplement parce qu'ils ont été imprimés dans une bonne réputation la colonne.

Probablement motivé par l'entrée du recensement ci-dessus, les écrits d'Adrien Bergeron dans son "Le Grand Arrangement des Acadiens au Québec» IV vol p.283, dit que Marie Salé est mariée à Jean-Claude Landry et a eu deux fils René Landry, l'aîné et René Landry, le plus jeune. Et dans une extension plus élaborée de cette erreur, Léopold Lanctôt, omi, dans sa publication "Familles Acadiennes», fait les suggestions suivantes quant aux débuts des Landry dans le Nouveau Monde, quand il affirme à la page 7: «Tout a commencé dans l'année 1640 ou 1641 quand un groupe de 10 à partir de la famille Landry est venu à Port-Royal, en Acadie de France. La famille Landry était à l'origine de La Ventrouze, près de Mortagne-au-Perche. département de l'Orne, en France. Ils ont été encouragés à venir en Acadie par Marguerite Landry, fille de Jean-Claude Landry et de Marguerite mari Robert Martin, qui avait été en Acadie depuis plusieurs années. Le groupe de 10 se composait de Jean-Claude Landry et sa seconde épouse, Marie Salée (40 ans) avec leur fils, René Landry, dit le jeune (6 ans) et ses trois enfants de Jean-Claude Landry de son premier mariage: des jumeaux, René Landry l dit «aisne (22 ans) et Antoinette Landry (22 ans), Perrine Landry (29 ans .) avec son mari Jacques Joffriau également dans le groupe en avait trois enfants de Marie Salée de de son premier mariage à Martin Aucoin Ces enfants étaient les suivants:. Michelle Aucoin (22 ans), François Aucoin (18 ans) et Jeanne Aucoin (8 ans). Le groupe probablement installé près de la rivière Saint-Jean dans la région du Cap Sable. Ils ont ensuite déménagé à Port-Royal. S'il vous plaît noter qu'il y avait deux nommé René dans ce groupe, René Landry, l'aîné (fils de Jean-Claude Landry, de son premier . le mariage) et René Landry, la jeune (fils de Jean-Claude Landry et Marie Salé) René, l'aîné a épousé Perrine Bourg, veuve de Simon Pelletret, en 1645 Perrine a eu 2 enfants de son premier mariage:. Henriette Pelletret (4 ans ) et Jeanne Pelletret (2 ans). "À la page 9 Lanctot Léopold, en discutant le recensement 1686, mentionne" "Marie Salé âge de 61 ans, veuve de Jean-Claude», mais il ajoute le nom LANDRY entre parenthèses "(Landry)". Il aime tous les autres avant lui, suggère, à la page 11, que René Landry, l'aîné et René Landry, le jeune sont demi-frères, et ajoute encore une fois, entre parenthèses, "(le jeune, demi-frere de René Landry, l'ainse) "derrière René Landry, le nom du plus jeune de. Et encore ajouter, entre parenthèses" (simple de René Landry, le jeune) "derrière le nom de Marie de Salé. Léopold Lanctôt suggère, à la page 15, dans un chapitre sur René Landry, dit le jeune, et Marie Bernard, suggère à nouveau que René Landry, le jeune est le fils de "Jean-Claude Landry et Marie Salé" mais notez que le trait d'union entre Jean et Claude a été ajouté et le nom Landry n'est pas placé entre parenthèses . La mise en place des hypothèses antérieures telles que le nom de famille et Landry Marie Salé étant la mère de René, entre parenthèses, qui ont ensuite été présentés avec les parenthèses, et l'ajout d'un trait d'union entre le nom de Jean Claude, montrent la progression graduelle de ces erreurs . dans ce qui est maintenant considéré par de nombreux faits documentés être Ces erreurs se retrouvent également sur pp 623-624 du "Histoire et Généalogie des Acadiens des" par Bona Arsenault, où les Etats Arsenault: - "Jean-Claude Landry milliards. 1593 et ​​Marie Salé milliards d'euros. 1600 la fille de Jean Denys Salé et Françoise Arnaud, se sont mariés dans le département de l'Orne en France, en 1633. Ce fut le second mariage pour les deux. Un enfant est né de ce mariage, René, né 1643. Jean-Claude est décédé en 1671 à Mortagne-au-Perche, France. Le nom de Marie Salé, 86 ans, apparaît dans le recensement de 1686 de l'Acadie, vivant avec son fils René "

Cependant, pendant tout ce temps, le professeur Stephen A. White, historien et généalogiste avec le Centre d'études acadiennes à l'Université de Moncton à Moncton, au Nouveau-Brunswick, et son compatriote historien, généalogiste et auteur, le père Clarence d'Entremont à partir du Moyen-Ouest Pubnico, comté de Yarmouth, en Nouvelle-Écosse ont eu lieu steadfastedly que la théorie que les parents de René Landry étaient Jean-Claude Landry et Marie Salé, était fausse. Comme le Père Etats Clarence d'Entremont dans une lettre du 23 Novembre: "Nulle part dans aucun recensement ou d'autres documents se trouve un Acadien du nom de Jean-Claude Landry Alors, qui était le père et la mère de René Landry, je.? ne sais pas, ni ce que quelqu'un sait .... Ainsi, les descendants de René Landry, à mon humble avis, ne peut pas aller plus loin dans leur généalogie Landry, que nous ne savons pas qui sont les parents de René Landry Jeunne le sont, ni où en France, il est né ".

"Jean-Claude Landry est effectivement fictive. Il n'ya aucune trace montrant que cette personne ait jamais existé. Le mari de Marle Sallé est simplement appelé Jean (ou Jehan) Claude dans les recensements de 1671 et 1678. Selon les archives, Marie Salé était mariée à Jean Claude, si elle doit être appelée la mère de René Landry, nécessairement, nous devons donner à son mari un nom de Jean-Claude LANDRY Mais, je le répète, le nom de Jean Claude Landry est de ne pas être trouvé n'importe où dans l'histoire. de l'Acadie à l'époque; ainsi que le mari de Marie Salé était Jean-Claude, PÉRIODE .. Il était un Indien micmac Les Indiens avec le nom de Claude l'habitude d'être assez nombreux en Nouvelle-Écosse, Le nom est devenu Glaude, dans mes jeunes années, je savait un certain nombre d'entre eux, qui écrivent leur nom Glode (En français "au" se prononce "o") .. Son nom apparaît deux fois dans l'Eglise de Port-Royal des registres, toujours comme l'article Jehan, jamais donnée comme nom de famille "Landry" . Comme une question de fait, si l'article n'avait pas été son nom de famille, cela voudrait dire que le registre lui donne son prénom et son DEUXIÈME En outre, les registres de Port-Royal TOUJOURS donner le nom entier de personnes;. mais le fait est que Article Jehan a son prénom ainsi, JAMAIS avec un autre nom soit ajouté à ces deux. Si le nom de famille avait été omise dans les registres, il serait le seul moment où une telle chose s'est produite dans un registre. Ainsi Claude était le nom de famille. "

Un chercheur enthousiaste et trop d'imagination ajouté Landry au nom de cette personne dans un effort pour expliquer pourquoi Marie Sallé résidé entre le jeune René Landry et de son fils Antoine Landry en 1686. Il a supposé que c'était le même qui a épousé Marie Sallé Martin Aucoin à La Rochelle en 1632, ce qui ne semble tout à fait possible, et à travers ce mariage, elle a été liée à Michelle Aucoin, dont la fille avec elle résidait en 1671 et 1678, qui est également possible . Mais la seule façon de ce chercheur pourrait se connecter Marie Sallé avec le jeune Landry René était à deviner que son Jean-Claude était vraiment un Landry et en outre qu'il doit être le père de la jeune René. Il s'agit simplement d'un vœu pieux. L'autre difficulté avec le jeune Landry René concerne son absence de recensement de 1671. Certains chercheurs ont pensé que cela signifiait qu'il n'avait pas encore immigré en Acadie à cette époque, mais il peut être démontré que le recensement de 1671 est incomplète, et donc l'omission de toute personne à partir de cela ne prouve pas que cette personne n'est arrivé en Acadie après cette date. En effet, les dossiers de la famille LeBorgne dans la série E des colonies des Archives (dossier E 277) mentionne les transactions impliquant la femme jeune René Landry, le frère-frère, Guyon Chiasson, entre 1668 et 1674, afin que nous savons avec certitude que les Chiasson étaient à "Mouchecoudabouet" au cours de ces années. Il est mon avis tout à fait probable que le jeune René Landry et sa famille vivaient dans la proximité étroite avec les Chiasson dans "Mouchecoudabouet", à cette époque. Comme Bona Arsenault a indiqué, pour la aîné René Landry d'avoir été appelé "l'Aine" dans les 1671 suppose qu'un autre recensement Landry René doit avoir vécu quelque part en Acadie, en même temps. Comme le Père Archange Godbout mentionne dans son Dictionaire des Acadiens, le jeune René "venu de France avec sa femme". Cette citation est levé à partir de plusieurs des dépositions des Acadiens à Belle-Ile-en-Mer. Comme père Godbout l'a souligné dans les Mémoires de la Société généalogie canadienne-française (vol. V, p. 5), cette expression sur ces dépositions signifie simplement que le mari et la femme sont nés en France, mais ne signifie pas nécessairement qu'ils venu en Acadie ensemble, beaucoup moins déjà marié à une autre. Donc, tout ce que nous pouvons dire, c'est que René Landry est né en France vers 1634. Nous ne savons pas s'il est venu en Acadie, seul ou avec d'autres parents. Comme je l'ai expliqué ci-dessus, cependant, nous savons qu'il n'était pas près lié à aucun des autres Landry en Acadie. "

Il est en outre déclaré à la fois par le père d'Entremont et le professeur Blanc qu'il est très douteux que deux recenseurs différents à deux moments différents aurait omis le nom de famille Landry en se référant à l'époux décédé de Marie Salé et si le nom de famille avait été omis dans l'église et d'autres registres publics, il serait le seul moment où une telle chose s'est produite dans un registre. Par conséquent, ils concluent tous les deux que l'ajout de l'Landry nom de Jean-Claude est une erreur.

Dans une lettre Witten au début de 1998, Stephen A. White, généalogiste, Centre d'études acadiennes écrit: "Que puis-je vous parler de" Jean-Claude Landry "que je n'ai pas déjà dit Pas grand-chose, je peux vous assurer?. Personne n'a apporté aucune nouvelle information pour montrer que deux recenseurs différents, à deux moments distincts, à la fois oublié de mettre le nom de Landry dans les entrées relatives à la vente veuve Marie. Personne n'a découvert une cache des listes de passagers pour l'une des les navires mentionnés par Lanctot Père pour montrer, comme il le prétend, que «Jean-Claude Landry» est arrivé en Acadie à une certaine date, à la tête d'un groupe d'un nombre déterminé de membres de la famille, Dans ces circonstances, les chercheurs sérieux doivent être d'accord que rien ne soutient la thèse selon laquelle il ait jamais eu un "Jean-Claude Landry» au début de l'Acadie. " "Personne ne sait vraiment comment le Landry est venu en Acadie, combien d'entre eux se sont réunis, si tant est qu'ils ne viennent dans un groupe, ou si et comment ils sont liés, au-delà du simple fait que René Landry l'aîné et Antoinette Landry étaient frère et soeur. Nous n'avons certainement pas de documentation pour montrer que René et Antoinette étaient des jumeaux! Même si René et Antoinette, dit-on à la fois été cinquante-trois ans dans le recensement de 1671, aucun généalogiste expérimenté aurait lu que en ce sens qu'ils nécessairement ..! né dans le même temps, parce que ces documents sont rarement tout à fait exact Après tout, quinze ans plus tard, en 1686 Antoinette est dit avoir été quatre-vingts et par 1693, elle a régressé à 76 Ces documents ne sont que des guides;. ils n'admettent pas d'interprétation stricte. Pour aller plus loin, sans preuves supplémentaires, est de se livrer à la création de la fiction romanesque ". "Il est très regrettable que le Père Lanctôt a choisi de présenter son compte de l'histoire de nos familles acadiennes début, comme si tous ses points ont été fondées sur des faits documentés. Et il est inadmissible que l'éditeur a jugé bon de distribuer un tel mélange de vérité et fantastique, comme s'il s'agissait d'histoire sérieuse. Le résultat est particulièrement odieuse dans la mesure où ces personnes qui ont peu ou pas de moyens de consulter les documents originaux sont concernés. Ils sont laissés à supposer que le travail de Lanctot est une pièce fiable de la recherche, où, comme il est en fait trompeuse traîtreusement, car il ya des informations extrêmement bien mêlé avec le mauvais. "

Stephen A. White a écrit: "En ce qui concerne l'origine et les parents de René Landry, le Jeunne il ya probablement aucune au

genealpha a écrit:

rods a écrit:Bonjour,

J'ai découvert que Jehan Claude (dit parfois Jean-Claude Landry mais serait plutôt Jean (ou Jehan) Claude selon Stephen A. White ), père de René Landry marié à Perrine Bourg (1645 à Port Royal, Acadie), est mon ancêtre. Plusieurs le dit Mi'kmaq. J'aimerais avoir votre opinion. Avez-vous quelques indices à me donner... des suggestions de lecture ou des documents autres.

Merci d'avance à tous.

Serge Rodrigue