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centenaires pour le centenaire de Pointe-Claire
centenaires pour le centenaire de Pointe-Claire
Trois centenaires pour le centenaire de Pointe-Claire

(Photo François Lemieux)
Publié le 11 Février 2011
Publié le 11 Février 2011
François Lemieux Sujets : Cités Nouvelles , Pointe-Claire , Boulevard Hymus , Canada
Alors que Pointe-Claire célèbre son centième anniversaire, trois dames exceptionnelles vont également fêter leur centième anniversaire en 2011. Ces trois dames habitent la résidence Le Wellesley sur le boulevard Hymus, à Pointe-Claire. Durant leurs vies longues d’un siècle, elles ont vu l’apparition de l’avion, de la télévision, deux guerres mondiales et tous les changements que l’innovation technique et technologique ont amenés dans la façon dont nous vivons nos existences. Elles ont parlé de tout cela au Cités Nouvelles la semaine dernière.
Lillian Cottle d’Hampstead a eu 100 ans en janvier. Harriet McGibbon de Toronto aura 100 ans en septembre et Winnifred Fogg de Lachine fêtera son centenaire en août.
Les temps ont changé dans l’Ouest-de-l’Île, le Canada et le monde en général au cours des 100 dernières années. Lorsque notre reporter leur a demandé ce qui les avait le plus marquées, elles ont répondu sans hésiter: les guerres. La première et spécialement la Deuxième Guerre mondiale ont marqué plusieurs générations.
La Seconde Guerre mondiale en elle-même aura enlevé la vie à 50 millions d’êtres humains et aura été le théâtre d’un des plus grands génocides de l’histoire.
«Mon souvenir historique le plus important c’est quand la Seconde Guerre mondiale a pris fin. Je n’avais pas de famille dans la guerre, mais ça nous a tous affectés. Nous voulions tous que ça s’arrête. Tout le monde connaissait quelqu’un qui avait été enrôlé, que ce soit dans la famille ou les voisins. J’ai connu quelqu’un qui a fait la guerre, un jeune homme avec qui j’avais grandi», a dit madame McGibbon.
L’expérience de Madame Fogg avec la guerre a été encore plus personnelle. Son mari est allé se battre dans l’armée canadienne. Il en est revenu vivant du front, mais ce fut difficile pour lui d’en parler par après, selon madame Fogg.
L’apparition de la télévision dans les années 50 a révolutionné le monde. Cela a contribué a isolé les familles en diminuant le besoin de se rassembler pour avoir du plaisir. Cette technologie a également ouvert les yeux des populations à ce qui se passait dans le monde et facilité l’accès à l’information. Considérant l’importance historique de ce changement, on pourrait penser que cela a dû représenter tout un choc pour quelqu’un de cette époque de voir arriver cette technologie. Les trois dames du Wellesley se rappellent bien cette époque, mais ont toutes dit que le choc n’avait pas été trop sévère.
«La télévision est apparue avant que les stations n’aient quelque chose à montrer. Nous avions la télévision, mais il n’y avait pas de programmes. La première chose que j’ai vue c’était deux boxeurs se battant sur un ring. Quelques années plus tard, j’ai rencontré un homme qui m’a dit qu’il avait été en studio pour voir le tournage de cette émission. Quand il fut sur place, il se rendit compte que la réalité était différente de ce qui était montré à la télévision. Il n’y avait pas de foule à l’enregistrement, et il avait été ébahi de constater que cet élément était rajouté en postproduction, un concept inconnu à l’époque», a dit madame McGibbon.
Madame Cottle ne fut pas du tout impressionnée par ce qu’elle vu aux premiers balbutiements du petit écran non plus. «C’était il y a très longtemps, mais je ne me rappelle pas avoir été impressionnée par ce que j’ai vu. Je crois que moi aussi, la première émission que j’ai vu, c’était la boxe», a-t-elle dit avant d’éclater de rire.
Avant la télévision, les gens avaient d’autres façons de s’amuser le week-end. Un samedi soir dans les années 1930 et 1940 était très différent d’une soirée moderne au centre-ville de Montréal. «On sortait parfois des disques, on jouait aux cartes, au Parchési ou aux échecs», a dit Madame McGibbon.
«Oh, ça, ça me rappelle des souvenirs», a dit madame Cottle à ce moment. «Moi, j’avais également un club de poker entre femmes. Samedi soir, on invitait nos maris et on faisait un buffet. C’était ça, un samedi soir typique pour nous: on créait notre propre amusement», a-t-elle ajouté.
Madame Cottle a eu deux enfants dans sa vie, alors que madame McGibbon et Fogg en eurent un chacun. Madame Cottle pense que les enfants d’aujourd’hui sont élevés bien différemment qu’autrefois. «Quand mes enfants étaient petits, il n’y avait pas de problèmes de drogue, comme il y a aujourd’hui. Mes enfants ont toujours été de bons élèves, des enfants sans histoires, quoi. J’imagine que c’est parce qu’il y avait moins de distractions à l’époque», a-t-elle conclu.
Souvent, l’idée que nous avons des rapports entre les hommes et les femmes du début du 20e siècle est assez simpliste. On se dit souvent que puisque les gens se mariaient beaucoup plus tôt et avaient plus d’enfants, la période de courtisanerie ne devait pas être très élaborée. Malgré tout, le processus de séduction n’était pas aussi mécanique qu’on peut le penser aujourd’hui.
«Les couples se fréquentaient quelques années avant de se marier à l’époque, tout comme aujourd’hui. Le processus de mariage n’était pas aussi spontané qu’on pourrait le croire», a dit madame McGibbon. Bien sûr, les choses n’étaient assurément pas aussi libérales que de nos jours. «Je ne connaissais pas de couples qui vivaient ensemble sans être mariés», a-t-elle conclu.
http://www.citesnouvelles.com/Societe/Vie-communautaire/2011-02-11/article-2219156/Trois-centenaires-pour-le-centenaire-de-Pointe-Claire/1

(Photo François Lemieux)
Publié le 11 Février 2011
Publié le 11 Février 2011
François Lemieux Sujets : Cités Nouvelles , Pointe-Claire , Boulevard Hymus , Canada
Alors que Pointe-Claire célèbre son centième anniversaire, trois dames exceptionnelles vont également fêter leur centième anniversaire en 2011. Ces trois dames habitent la résidence Le Wellesley sur le boulevard Hymus, à Pointe-Claire. Durant leurs vies longues d’un siècle, elles ont vu l’apparition de l’avion, de la télévision, deux guerres mondiales et tous les changements que l’innovation technique et technologique ont amenés dans la façon dont nous vivons nos existences. Elles ont parlé de tout cela au Cités Nouvelles la semaine dernière.
Lillian Cottle d’Hampstead a eu 100 ans en janvier. Harriet McGibbon de Toronto aura 100 ans en septembre et Winnifred Fogg de Lachine fêtera son centenaire en août.
Les temps ont changé dans l’Ouest-de-l’Île, le Canada et le monde en général au cours des 100 dernières années. Lorsque notre reporter leur a demandé ce qui les avait le plus marquées, elles ont répondu sans hésiter: les guerres. La première et spécialement la Deuxième Guerre mondiale ont marqué plusieurs générations.
La Seconde Guerre mondiale en elle-même aura enlevé la vie à 50 millions d’êtres humains et aura été le théâtre d’un des plus grands génocides de l’histoire.
«Mon souvenir historique le plus important c’est quand la Seconde Guerre mondiale a pris fin. Je n’avais pas de famille dans la guerre, mais ça nous a tous affectés. Nous voulions tous que ça s’arrête. Tout le monde connaissait quelqu’un qui avait été enrôlé, que ce soit dans la famille ou les voisins. J’ai connu quelqu’un qui a fait la guerre, un jeune homme avec qui j’avais grandi», a dit madame McGibbon.
L’expérience de Madame Fogg avec la guerre a été encore plus personnelle. Son mari est allé se battre dans l’armée canadienne. Il en est revenu vivant du front, mais ce fut difficile pour lui d’en parler par après, selon madame Fogg.
L’apparition de la télévision dans les années 50 a révolutionné le monde. Cela a contribué a isolé les familles en diminuant le besoin de se rassembler pour avoir du plaisir. Cette technologie a également ouvert les yeux des populations à ce qui se passait dans le monde et facilité l’accès à l’information. Considérant l’importance historique de ce changement, on pourrait penser que cela a dû représenter tout un choc pour quelqu’un de cette époque de voir arriver cette technologie. Les trois dames du Wellesley se rappellent bien cette époque, mais ont toutes dit que le choc n’avait pas été trop sévère.
«La télévision est apparue avant que les stations n’aient quelque chose à montrer. Nous avions la télévision, mais il n’y avait pas de programmes. La première chose que j’ai vue c’était deux boxeurs se battant sur un ring. Quelques années plus tard, j’ai rencontré un homme qui m’a dit qu’il avait été en studio pour voir le tournage de cette émission. Quand il fut sur place, il se rendit compte que la réalité était différente de ce qui était montré à la télévision. Il n’y avait pas de foule à l’enregistrement, et il avait été ébahi de constater que cet élément était rajouté en postproduction, un concept inconnu à l’époque», a dit madame McGibbon.
Madame Cottle ne fut pas du tout impressionnée par ce qu’elle vu aux premiers balbutiements du petit écran non plus. «C’était il y a très longtemps, mais je ne me rappelle pas avoir été impressionnée par ce que j’ai vu. Je crois que moi aussi, la première émission que j’ai vu, c’était la boxe», a-t-elle dit avant d’éclater de rire.
Avant la télévision, les gens avaient d’autres façons de s’amuser le week-end. Un samedi soir dans les années 1930 et 1940 était très différent d’une soirée moderne au centre-ville de Montréal. «On sortait parfois des disques, on jouait aux cartes, au Parchési ou aux échecs», a dit Madame McGibbon.
«Oh, ça, ça me rappelle des souvenirs», a dit madame Cottle à ce moment. «Moi, j’avais également un club de poker entre femmes. Samedi soir, on invitait nos maris et on faisait un buffet. C’était ça, un samedi soir typique pour nous: on créait notre propre amusement», a-t-elle ajouté.
Madame Cottle a eu deux enfants dans sa vie, alors que madame McGibbon et Fogg en eurent un chacun. Madame Cottle pense que les enfants d’aujourd’hui sont élevés bien différemment qu’autrefois. «Quand mes enfants étaient petits, il n’y avait pas de problèmes de drogue, comme il y a aujourd’hui. Mes enfants ont toujours été de bons élèves, des enfants sans histoires, quoi. J’imagine que c’est parce qu’il y avait moins de distractions à l’époque», a-t-elle conclu.
Souvent, l’idée que nous avons des rapports entre les hommes et les femmes du début du 20e siècle est assez simpliste. On se dit souvent que puisque les gens se mariaient beaucoup plus tôt et avaient plus d’enfants, la période de courtisanerie ne devait pas être très élaborée. Malgré tout, le processus de séduction n’était pas aussi mécanique qu’on peut le penser aujourd’hui.
«Les couples se fréquentaient quelques années avant de se marier à l’époque, tout comme aujourd’hui. Le processus de mariage n’était pas aussi spontané qu’on pourrait le croire», a dit madame McGibbon. Bien sûr, les choses n’étaient assurément pas aussi libérales que de nos jours. «Je ne connaissais pas de couples qui vivaient ensemble sans être mariés», a-t-elle conclu.
http://www.citesnouvelles.com/Societe/Vie-communautaire/2011-02-11/article-2219156/Trois-centenaires-pour-le-centenaire-de-Pointe-Claire/1
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